Michel-Edmond de Sélys-Longchamps, vice-président (Waremme)

Le 28 décembre 1877, DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond est réélu vice-président de l’Institut Archéologique, contre son gré.

L’Institut Archéologique (Waremme – Belgique)

En janvier 1878, DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond est vice-président de l’Institut Archéologique.

Des fenêtres à l’Orangerie (Longchamps)

Le 16 juillet 1883, de nouvelles fenêtres sont percées à l’Orangerie du château de Longchamps, du côté du Geer.

Objet archéologique (Grandville – Waremme)

Le 27 août 1893, Monsieur POSKIN et deux de ses filles, de Grandville, apportent à DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond, de la part du notaire MOTTART, un morceau de silex taillé qui imite deux noyaux de corne de boeuf.

Vestiges archéologiques (Waremme)

Le 16 août 1893, Mr et Mme DE LOOZ et Mr DE LOE, archéologue, viennent visiter les remparts et la villa d’Autuaxhe, à Waremme, avec DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond.

La tradition funéraire du tumulus (Hesbaye)

Au 1er siècle ACN, avant l’arrivée des Romains, la tradition funéraire du Tumulus existe déjà en Hesbaye. C’est un monticule de terre, de forme cônique, élevé au-dessus d’une sépulture, généralement enfouie dans le sol. Cette tradition perdurera sous la civilisation romaine, jusqu’à la moitié du 3ème siècle PCN.

Cette coutume funéraire est réservée aux notables, fonctionnaires et grands propriétaires fonciers. Ces tumuli sont souvent érigés à proximité de « Villas » romaines et des chemins qui les desservent; à proximité des chaussées romaines ou de « diverticulum » (voie romaine secondaire). Ces chaussées servent à véhiculer les produits et les matières premières.

 

Jeneffe en 1801

En 1801, la superficie de Jeneffe est de 53.000 ares et 13 milliares (?). La position est plate et unie. Son sol est assez bon et son climat des plus sain. Aucune rivière, aucun ruisseau ne passe dans la commune. Il n’existe aucun bois dans son étendue et le plus à proximité est éloigné de 2 myriamètres (?). Il y a un endroit appelé « A la Chaussée ». Cet endroit est ainsi appelé parce qu’en son milieu traverse la Chaussée Verte, c’est-à-dire un grand chemin élevé et assez fréquenté par les voyageurs du côté de Namur à Tongres (il s’agit d’une ancienne chaussée romaine). Cet endroit est composé de 2 fermes et 4 autres maisons situées au levant.

Tombe romaine à Omal

En (?), (vers 1950 ?), DESTEXHE, de Saint-Georges, découvre une tombe romaine à Omal, le long de la route qui se rend à Momalle. Il s’agit probablement de la tombe d’une jeune femme. Elle contient un miroir en argent poli, une boîte en bronze contenant un caillou pour appliquer le « rouge à lèvre ».

Destexhe fouille à Omal

En 1950, DESTEXHE, de Saint-Georges, procède à des fouilles à Omal. Il localise les vestiges d’un vaste centre belgo-romain, que l’on  peut dater du 2ème et 3ème siècle PCN, dans les environs immédiats de la chaussée romaine, près de « L’Arbre à la Croix »,

Pièce à l’effigie d’Hadrien (Omal)

En (?), la découverte d’une pièce de monnaie frappée à l’effigie de l’Empereur HADRIEN permet de dater la construction des tumuli d’Omal au 2ème siècle PCN.