En (?), des digues sur le Geer, qui seront appelées « Digues d’Autuaxhe », maintiennent l’eau dans les fossés des remparts de Waremme, et notamment autour de la « motte » du château.
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Les digues de Waremme
En 1769 (?), des digues sur le Geer maintiennent l’eau dans les fossés des remparts de Waremme et, notamment, autour de la « Motte du Château ».
Palissades autour de Waremme
En (?) (dans des temps reculés), Waremme est entourée d’élévations de terre surmontées de palissades.
Entretien de la porte de Huy (Waremme)
Vers 1590 (?), des reilles (lattes) sont achetées par la ville de Waremme pour la Porte de Huy.
Les portes dans les remparts de Waremme
En (?), il y a 3 portes dans l’enceinte des remparts de Waremme:
- La Porte de Liège, à l’angle oriental des remparts
- La Porte de Saint-Trond, sur la rue du Pont (dans sa portion qui sera plus tard appelée rue Hubert Stiernet)
- La Porte de Huy, sur la rue de Huy (qui sera plus tard appelée rue Joseph Wauters), dans le prolongement de la rue du Baloir. Cette porte est aussi appelée « Porte des Rateaux » (peut-être en raison d’une herse qui aurait doublé les vantaux; ou alors s’agissait-il plutôt d’une barrière et non d’une porte ?)
Disparition des remparts (Waremme)
En 1856, 3 tronçons des remparts de Waremme ont déjà disparu:
- celui qui prolonge les fortifications vers le Geer, dans l’axe de la rue du Baloir
- celui qui longe la rue du Baloir
- celui qui longe la rue des Remparts
Vestiges archéologiques (Waremme)
Le 16 août 1893, Mr et Mme DE LOOZ et Mr DE LOE, archéologue, viennent visiter les remparts et la villa d’Autuaxhe, à Waremme, avec DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond.
Un chemin contourne les remparts (Waremme)
En 1793, un chemin contourne entièrement les remparts de Waremme. (Il suit, notamment, le tracé des futures avenues Henri Monjoie, Guillaume Joachim et de la rue du Baloir).
Le vicus de Braives fortifié
Au début du 4ème siècle PCN, une fortification routière est construite au vicus gallo-romain de Braives, pour contrôler la Chaussée Romaine, devenue rocade militaire. D’abord une petite redoute palissée entourée d’un fossé, puis ensuite (vers 325), une tour de garde plus puissante, entourée de fossés plus larges, utilisant des matériaux de remploi, notamment, des pierres sculptées ayant appartenu à des monuments funéraires abandonnés.
La rue du Baloir (Waremme)
Le nom « Baloir », de la rue du Baloir à Waremme, vient du mot « baladoir », sentier situé au sommet des remparts, permettant d’effectuer des rondes et de surveiller les alentours.