Le 19 avril 2014, la manifestation « Printemps Grandeur Nature » est organisée place du Roi Albert 1er à Waremme:
Vers 1922, la famille GERARD, de Remicourt, achète une TSF, alimentée par des accus et reliée à une antenne tendue dans le parc.
En 1933, 286.000 détenteurs de TSF ont payé la taxe en Belgique.
De 1950 à 1960, en 10 ans, les détenteurs de radio passent de 235.030 à 332.125, en province de Liège.
Le 20 janvier 2019, DAWIR Désiré-François, de Waremme, y décède à l’âge de 85 ans. Il était natif de Lens-sur-Geer. Il était administrateur retraité de l’Athénée Royal de Waremme. Il sera incinéré et l’urne sera inhumée au cimetière de Waremme.
Il a créé « Le Petit Snobinard », une chronique dans laquelle il se moquait gentiment des acteurs du monde politique local, via des montages de photos humoristiques, sur les réseaux sociaux. Il a travaillé à Radio-Betteraves.
Le 1er mai 1944, un parachutage est effectué dans la région de Waremme. Le code de l’opération, sur la BBC, est: « Le choux n’a pas une odeur effroyable ». Les fournitures sont cachées sous des tas de marne par la Résistance.
En 2009, Radio Hesbaye dispose d’un studio dans les locaux de l’ancienne école libre des filles, à Borlez, désaffectée depuis le milieu des années 1960.
Vers 1901, la TSF, dite « Le Poste », fait une timide apparition dans quelques foyers aisés, en Hesbaye.
Le 6 septembre 1944, le message radio codé « Le Roi Salomon a chaussé ses gros sabots » est émis sur la BBC. C’est le dernier message radio adressé à la Résistance hesbignonne. Il presse le « Groupe Otarie » d’effectuer divers sabotages dans la région de Waremme, de prendre contact avec l’avant-garde américaine, le 113e Cavalery Group, et de le guider jusque Liège.
Le 2 septembre 1944, le message radio codé « La jonquille jaune est en fleur » est émis sur la BBC. Il informe les Résistants qu’ils doivent rejoindre immédiatement les lieux de rassemblement, car les Alliés vont pénétrer en Belgique.
Les hommes du « Groupe Otarie » se rendent au château de Potestat, à Les Waleffes, et à la ferme BEGUIN, toute proche. Ils évitent d’emprunter les grands-axes, dangereux car sillonnés par des colonnes de camions et de véhicules blindés allemands.