Mort du curé Jacquinet (Hodeige)

Le 10 septembre 1898, le curé de Hodeige, l’abbé JACQUINET Jean-Nicolas-Joseph, décède à (?), à l’âge de 78 ans. Il sera enterré dans le cimetière du village, auprès de son prédécesseur. Sur son tombeau, l’inscription suivante est gravée:

« ICI REPOSE Mr J-N JACQUINET REVEREND CURE DE HODEIGE PIEUSEMENT DECEDE LE 10 7bre 1898. RIP »

Mort du curé Delvaux (Hodeige)

Le 17 avril 1871, le curé de Hodeige, l’abbé DELVAUX Jean-Louis, décède à Hodeige, à l’âge de 62 ans. La paroisse lui fera élever un monument funéraire dans le cimetière du village, près du chœur de l’église. Sur cette pierre tombale l’inscription suivante sera gravée:

« A LA MEMOIRE DU Rend Mr JEAN-LOUIS DELVAUX CURE A HODEIGE DEPUIS 1834. Y DECEDE le 17 AVRIL 1871 A L’AGE DE 62 ANS. LA COMMUNE RECONNAISSANTE. »

Nouveau Chemin de Croix (Hodeige)

En 1853, lors de leur mission, les Pères Rédemptoristes érigent un nouveau Chemin de Croix dans l’église de Hodeige.

Deux nouvelles cloches pour l’église (Hodeige)

En 1856, deux nouvelles cloches sont placées dans la tour de l’église de Hodeige. Elles donnent respectivement les notes « Sol » et « La », formant un accord parfait avec la grosse cloche, qui sonne en « Fa ».

La première est dédiée à la Sainte-Vierge et pèse 545 kilos. Elle porte l’inscription: « MESSIEURS L. DUPONT BOURGMESTRE J.L. DELVAUX CURE CaLCaVI DraConeM FAITE AUX USINES DE MADAME LA BARONNE DE ROSEE A MOULINS PAR HENRI MICHEL »

La deuxième est dédiée à Saint-Joseph et à Sainte-Philomène et pèse 410 kilos. Elle porte l’inscription: « MESSIEURS L. DUPONT BOURGMESTRE J.L. DELVAUX CURE S. JOSEPH ORA PRO NOBIS FAITE AUX USINES DE MADAME LA BARONNE DE ROSEE A MOULINS PAR HENRI MICHEL »

La sonnerie de Hodeige est fort appréciée dans le pays; c’est une des plus belles des environs.

Dévotion à Sainte-Philomène (Hodeige)

En 1839, le curé de Hodeige, l’abbé DELVAUX Jean-Louis, introduit dans sa paroisse la dévotion à Sainte-Philomène.

Ayant appris que la paroisse de Guigoven possède des reliques de la sainte martyre, il s’adresse au curé afin d’obtenir une parcelle de ce trésor. Non seulement, il obtiendra les reliques tant désirées avec leur authentiques, mais encore une belle statue en bois de la sainte, faite par le sculpteur anversois bien connu, DE CUYPER.

En effet, lorsque le curé de Guigoven, l’abbé LAMBRECHTS, grand serviteur de Sainte-Philomène, a commandé pour son église une statue de la sainte, par suite d’un malentendu, le sculpteur en a réalisé deux au lieu d’une. C’est ainsi que Hodeige pourra être gratifiée d’un des deux exemplaires.

Mort de Dieudonné Printhaye (Hodeige)

Le 20 novembre 1749, le curé de Hodeige, l’abbé PRINTHAYE Dieudonné, décède à (?). Il sera enterré dans le chœur de l’église du village.

Sa pierre tombale portera l’inscription « Hic Jacet Reverendus Admodum Dominus D Deodatus Printhaye Pastor in Hodeige. Necnon Concilii Hozemontensis Decanus Meritissimus. Qui Obiit 20 9bris 1749. Requiescat In Pace« 

Une Chaire de Vérité pour l’église (Hodeige)

Vers 1630, le curé de Hodeige, l’abbé DE DONCHEIL (DE DONCEEL) Thomas, fait construire une Chaire de Vérité pour l’église du village. Elle est de style Louis XIII. Elle porte une molette à 6 pans.

Découverte d’une statue (Hodeige)

Le 24 mars 1905, en démontant le maître-autel de l’église de Hodeige, on découvre, derrière le massif en pierre, une statuette en chêne mutilée de soldat, qui doit provenir du retable vendu vers 1841. Cette statuette est peinte et dorée, avec une partie gaufrée.

Vente du retable de l’église (Hodeige)

Vers 1841 (?), le retable en bois sculpté de l’église de Hodeige est vendu, probablement à un antiquaire.

Il a été réalisé sous le pastorat du curé DE MOMALLE Guillaume. Il a coûté 55 florins (monnaie d’or). Il provenait de Léau.

Ce retable en chêne sculpté est peint et doré très finement. On peut y voir un grand nombre de personnages, dont plusieurs à cheval. Des pentures en fer forgé révèlent l’existence de volets.

Des statues pour l’église (Hodeige)

Vers 1503 (?), Maître LE PONDEUR Antoine et son fils, LE PONDEUR Martin, fournissent à l’église de Hodeige un Christ en Croix Triomphal avec les deux statues de la Sainte-Vierge et de Saint-Jean. Sur la « trabes », ils doivent peindre, en outre, les figures des 12 apôtres (probablement en buste seulement). Ils s’engagent à faire le tout pour 38 florins.