En 1953, le conseil communal de Crisnée décide de compléter le Monument à la mémoire des combattants du village lors de la Première Guerre Mondiale, érigé en 1923, et de placer une bordure en pierre entre les bornes reliées par une chaînette.
En 1925, le conseil communal de Crisnée reçoit la notification officielle du décès de GILON François et décide de lui élever un monument dans le village.
Le 7 avril 1923, le Conseil Communal de Crisnée décide d’élever un monument à la mémoire des combattants de la Première Guerre Mondiale, contre le mur de façade droit du cimetière. Réalisé par BACUS, d’Oreye, il portera les noms des 13 combattants du village.
En 1954, lors du nettoyage du grand crucifix, suspendu à la voûte de l’église de Crisnée, entre le chœur et la nef centrale, le filin se rompt. Le Christ en plâtre vole en éclat. Seule la tête reste intacte.
En 1947, une stèle commémorant les morts de la Deuxième Guerre Mondiale est inaugurée sur la placette devant l’église de Thys. Elle porte les noms et les photographies des défunts.
En 1935, la vieille statue de Saint-Pierre, en bois, installée sur un puissant tilleul au carrefour de la « hôte vôye » et de la « vôye dè hovê » à Thys, tombe en poussière. Elle est remplacée par une statue en pierre.
Vers 1911 – 1912, le cimetière qui entoure l’église Saint-Pierre de Thys est désaffecté. Quelques croix funéraires sont dressées contre le mur sud de la clôture.
Le 13 novembre 1891, l’abbé KINET Louis-Joseph décède au Grand Séminaire de Liège. Natif de Crisnée, il a été prêtre, chanoine, professeur et directeur de l’école normale Saint-Roch à Ferrières, inspecteur diocésain de l’Enseignement Libre de la Province de Liège. Il a été chanoine honoraire de la Cathédrale de Liège.
Il sera inhumé au cimetière de Crisnée. Son monument funéraire sera réalisé par l’entrepreneur HARZIMONT, de Tongres.
Le 28 mai 1994, une cérémonie est organisée au Monument de l’Armée Secrète à Omal, en présence des lieutenants américain FITZPATRICK et allemand KERN Charles.
Le 20 mai 1946, une pierre commémorative, à la mémoire de LACROIX Léonard, déporté pour travailler en Allemagne et décédé dans un bombardement à Regenburg à l’âge de 23 ans, est inaugurée sur la façade de l’école communale de Hollogne-sur-Geer. Une rue du village portera son nom.