Le 20 décembre 2012, LE MAIRE Pierre démissionne de sa fonction d’administrateur de la SCPRL « Carofroid », entreprise de stockage, entreposage et manutention de légumes, est installée au n° 6 de la rue du Parc Industriel à Waremme.
En avril 2001, la SCPRL « Carofroid », entreprise de stockage, entreposage et manutention de légumes, est installée au n° 6 de la rue du Parc Industriel à Waremme.
Le 22 septembre 1987, le club de jardinage de Remicourt « les Foyeus de l’Yerne » organise une conférence sur la culture du chicon, à l’école de Lamine.
En 1914, CHARLIER Jules, père des deux lutteurs renommés, CHARLIER Léon et CHARLIER Emile, est propriétaire d’une culture maraîchère dans le quartier de la Champanette à Waremme.
En juin 2000, après la « carotte de Hesbaye », la SCRL « Coopérative de l’Yerne » de Waremme se lance dans la culture de « l’asperge de Hesbaye ». Le responsable commercial de la société est ROBERTI Pierre.
Le 6 juin 1997, ROBERTI Pierre, LEMAIRE Pierre, LEMAIRE Xavier et HENRY Emmanuel sont confirmés administrateurs de la SCRL « Coopérative de l’Yerne », dont le siège est situé au n° 6 de la rue du Parc Industriel de Waremme. ROBERTI Pierre est nommé président du Conseil d’Administration et LEMAIRE Pierre administrateur-délégué.
En juillet 1991, quatre producteurs, LEMAIRE Pierre et LEMAIRE Xavier, ROBERTI Pierre et HENRY Emmanuel, créent la « Coopérative de l’Yerne » dans le zoning industriel de Waremme, avec pour objectif la production et le stockage de carottes.
Le 13 juillet 1942, une dizaine de pilleurs de potagers sont arrêtés à Waremme.
Le 22 juillet 1941, pour avoir des légumes, le collège Saint-Louis de Waremme est autorisé par la commune à cultiver les surfaces, réservées aux futures routes, qui ont été délimitées dans les champs.
En 1917, le Comité de Secours et d’Alimentation de Waremme s’est fixé comme objectif que dans chaque village, il ne doit pas y avoir une seule famille, riche ou pauvre, qui ne produise directement ou indirectement les légumes, pommes de terre et féculents dont elle a besoin. Pour ce faire, le comité crée des « coins de terre » : des terrains loués à bas prix (20 à 25 francs la verge) par les fermiers, qui n’en retirent guère plus avant la guerre. Ces lopins sont mis à la disposition des familles les plus défavorisées. En 1917, on compte à Waremme 82 de ces jardins, totalisant 715 ares.