En 1954, l’horlogerie-bijouterie « MATERNE » est installée au n° 23 de la rue Joseph Wauters, à Waremme.
Archives de catégorie : Bijouterie
Le magasin d’Emile Gonne (Waremme)
En 1954, GONNE Emile exploite un magasin au n° 58 de la rue Joseph Wauters, à Waremme.
Il vend:
- des objets d’art
- des articles cadeaux
- de l’horlogerie
- de la bijouterie
- de l’orfèvrerie
- des étains
- de la porcelaine
L’horlogerie-bijouterie Gonne (Waremme)
En 1954, l’horlogerie-bijouterie « GONNE H. et Fils » est installée au n° 6 de la rue de la Station, à Waremme.
Elle est dépositaire des plus grandes marques de montres suisses de précision.
Elle propose:
- un choix de bijoux en or et en argent,
- de la lunetterie de luxe et ordinaire,
- des bagues de fiançailles
- des alliances en or 18 carats
L’horlogerie-bijouterie Nélis (Waremme)
En 1954, l’horlogerie-bijouterie « NELIS » est installée au n° 66 de la rue Joseph Wauters, à Waremme.
Gaston Nélis vient voir ses enfants (Waremme)
En décembre 1943, NELIS Gaston, dit « Joseph », bijoutier de Waremme passé dans la clandestinité, revient discrètement chez lui pour fêter la Saint-Nicolas avec ses enfants.
« Domin’Or » à Ligney
L’horlogerie-bijouterie « Marc Frères » (Waremme)
En mai 2016 et en décembre 2023, FRERES Marc et FRERES François exploitent l’horlogerie-bijouterie « Marc Frères », située au n° 6 de l’avenue Reine Astrid, à Waremme. Ils sont les arrières-petits-fils de GONNE Henri, qui a ouvert le commerce en 1869.
Marielle Hella, volontaire humanitaire (Waremme – Grèce)
En mars 2016, la commerçante de Waremme, HELLA Marielle, âgée de 51 ans, décide de partir comme volontaire humanitaire sur l’île de Lesbos en Grèce, pour venir en aide aux réfugiés qui affluent en Europe, en raison de la guerre en Syrie.
Elle exerce la profession de bijoutière et de thérapeute psycho-corporelle.
Isidore Gonne, soldat (Waremme – Belgique)
En mai 1940, GONNE Isidore, le fils du bijoutier de Waremme, GONNE Henri, est soldat au 12ème Régiment de Ligne.
Gaston Nélis au chevet de Léon Berger (Waremme)
Le 29 août 1944, bien qu’il se sait recherché par les Allemands, le bijoutier NELIS Gaston, membre de l’Armée Secrète (A.S.), se rend au chevet de BERGER Léon, blessé lors du bombardement du centre de Waremme de la veille, hospitalisé à la clinique Notre-Dame, rue Joseph Wauters à Waremme.
BERGER Léon décède à 19h. Il est la douzième victime du bombardement.
