Jules Poelmans, boulanger « Résistant » (Waremme)

En 1944, POELMANS Jules est un membre actif de l’Armée Secrète (A.S.). Il exploite une boulangerie à la Porte de Liège, à Waremme.

Les soeurs Mathot, saines et sauves (Waremme)

Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe tombée à l’arrière du magasin de l’électricien PUTZEYS Louis, la Boulangerie « MATHOT » est ravagée. Mais MATHOT Honorine et MATHOT Marie-Louise sortent indemnes du dessous de la table où elles se sont réfugiées. LALLEMAND Paul et HOMBROISE Philippe, qui s’étaient réfugiés dans la cave de la boulangerie, s’en sortent également sains et saufs.

Renier, fabricant de pain (Waremme)

En 1944, Monsieur RENIER confectionne des pains et de la pâtisserie dans son atelier de la rue du Pont, à Waremme. Ils sont vendus à la boulangerie de ses belles-soeurs, MATHOT Honorine et MATHOT Marie-Louise.

Il est le père de RENIER Jules, futur médecin, et de RENIER Hélène.

Une partie de la rue Joseph Wauters (Waremme)

En août 1944, en remontant la rue Joseph Wauters, depuis l’angle de la rue Zénobe Gramme, se trouvent les immeubles suivants:

  • la pharmacie « GIELEN », à l’angle
  • la mercerie « LEKEUX »
  • la pâtisserie « DELVAUX »
  • le tailleur « HELLINGS »
  • la maison « PIROTTE »
  • le magasin de l’ébéniste « LALLEMAND »
  • le café « Aux Sports »
  • la Banque de Bruxelles
  • la maison « GERMEAU »
  • le magasin « VRANKEN »

Le coin « Mathot » est ravagé (Waremme)

Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe tombée à l’arrière du magasin de l’électricien PUTZEYS Louis, tout le coin de la rue Gustave Renier et de la rue de Huy est ravagé.

  • La pâtisserie « MATHOT » est pulvérisée.
  • Le commerce de salaisons « STOUVENAKERS » a été soufflé.
  • La maison « RENIER » est détruite.
  • La petite maison « WUIPIEDS » (« le Poilu ») a complètement disparu.
  • Le magasin de l’électricien « PUTZEYS » et l’atelier de la couturière « PERQUI » ne sont plus que ruines.
  • La maison de l’architecte GONTHIER Richard est coupée en deux. Toute la partie droite s’est effondrée. Il ne reste plus rien de ce qui était la salle d’attente et le cabinet du dentiste MAGNEE Fernand.

L’Union Coopérative (Waremme)

En juin 1944, les entrepôts de l’Union Coopérative ont un raccordement direct à la gare de Waremme. Elle dispose également d’un petit quai pour réceptionner les arrivages de farines, destinées à sa boulangerie.

Alexis Mathot, marchand de charbon (Waremme)

Vers 1938, MATHOT Alexis, le frère des marchandes de pâtisserie, MATHOT Marie-Louise et MATHOT Honorine, est marchand de charbon. Il entrepose son stock dans une petite cour située à l’entrée de la rue de Huy, à Waremme.

La boulangerie « Mathot » (Waremme)

Vers 1938, la boulangerie des soeurs MATHOT Marie-Louise et MATHOT Honorine, située au carrefour de la rue Gustave Renier à Waremme, est renommée pour ses pralines et ses éclairs au chocolat.

Les produits qu’elles vendent sont fabriqués dans les installations de leur beau-frère, situées à la rue du Pont. Pour assurer la fraîcheur de la pâtisserie, il approvisionne la boutique plusieurs fois par jour.

La boulangerie « Mathot » (Waremme)

En juin 1944, les soeurs MATHOT Marie-Louise et MATHOT Honorine exploitent une boulangerie au carrefour de la rue Gustave Renier à Waremme. Une vitrine s’ouvre sur le carrefour et une autre sur la rue de Huy.

Georges Delvaux, pâtissier (Waremme)

En juin 1944, la pâtisserie de DELVAUX Georges est installée rue Joseph Wauters, à Waremme, à côté de la mercerie « LEKEUX ».