Paul Chaudière cuisine pour les Américains (Waremme – Etats-Unis)

Le 24 décembre 1944, le boulanger CHAUDIERE Paul, installé rue Joseph Wauters à Waremme, fait rissoler des demi-dindes dans des platines à biscottes, pour les militaires américains qui occupent la gendarmerie de la ville.

La boulangerie Chaudière passe de père en fils (Waremme)

En 1936, CHAUDIERE Paul reprend la boulangerie CHAUDIERE, créée par son père, CHAUDIERE Godefroid, et située rue Joseph Wauters à Waremme.

La pâtisserie Delvaux (Waremme)

En 1932, la pâtisserie DELVAUX est installée rue du Moulin à Waremme, voisine du numéro 8.

Mariage de Edmond De Selys-Longchamps et de Juliette Mathot (Waremme)

Le 19 mars 1931, le Baron DE SELYS-LONGCHAMPS Edmond épouse à Waremme, en secondes noces, MATHOT Augusta-Juliette, soeur des pâtissières du coin de la rue Gustave Renier.

La boulangerie « Chaudière » est la proie des flammes (Waremme)

En 1930, un incendie ravage l’atelier et les réserves de la boulangerie « CHAUDIERE », rue Joseph Wauters à Waremme. Tout sera reconstruit.

La boulangerie « La Levure Royale » (Waremme)

A partir de 1924, la boulangerie « La Levure Royale », exploitée CHAUDIERE Grégoire, au n° 11 de ce qui deviendra la Place Ernest Rongvaux à Waremme, utilise un camion automobile pour effectuer ses distributions de pains.

L’horlogerie-bijouterie d’Emile Nélis déménage (Waremme)

En 1921, l’horlogerie-bijouterie, NELIS Emile, quitte la place de la gare pour s’installer rue de Huy (qui deviendra plus tard la rue Joseph Wauters), dans un immeuble qui a appartenu à la famille GOBLET, à droite de la boulangerie ouverte peu de temps avant, par CHAUDIERE Godefroid.

La « Maison Nelis » vend aussi des phonographes et est le représentant de la marque « La Voix de son Maître » pour la région.

La boulangerie de Godefroid Chaudière déménage (Waremme)

En 1919, la boulangerie CHAUDIERE Godefroid quitte le n° 11 de l’actuelle rue Zénobe Gramme et s’installe rue de Huy (qui deviendra la rue Joseph Wauters), où elle reprend l’immeuble occupé jusque là par la boulangerie BADA – MOIESSE. Le rez-de-chaussée du bâtiment n’occupe qu’une partie du terrain à rue : à gauche du magasin, une entrée carrossable permet l’approvisionnement de l’atelier situé à l’arrière de la maison et le passage des chevaux.

La pâtisserie est limitée par les Allemands (Waremme – Allemagne)

Le 25 novembre 1915, l’occupant fait savoir aux boulangeries, pâtisseries et restaurants, qu’ils ne peuvent fabriquer des « pâtisseries de tout genre » que le mercredi et le samedi.

La firme Haubrechts-Genicot déménage (Waremme)

En 1914, la firme « Haubrechts-Génicot », grossiste en denrées coloniales, s’installe à l’extrémité de (ce qui deviendra) la rue Gustave Renier, à côté de la boulangerie de l’Union Coopérative. Elle dispose d’un camion automobile, d’une charge utile de 3,5 tonnes.