Don de Jules Mélotte (Remicourt)

Le 18 juin 1914, MELOTTE Jules fait un don de 4.000 francs à l’église de Remicourt pour contribuer à payer une dette de 4.700 francs et 205 francs d’intérêts, à l’entrepreneur MASTES (MATES ?) de Braine-l’Alleud.

La perche des Francs-Tireurs (Waremme)

Vers 1950, la perche de tir des Francs-Tireurs de Waremme (successeurs de la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme) déménage à l’ancien vélodrome de la ville, à l’arrière des Etablissements JAVAUX, face à la rue Stanislas Fleussu.

Le Pré MOERMANS dans lequel elle se dressait jusque-là, est désormais voué à la construction. Plus tard, elle déménagera à nouveau au Fond d’Or, face à la maison de MOREA Marcel, pour les mêmes raisons

René Moureau, maçon et cycliste (Waremme – Oleye)

Le 6 juin 1949, MOUREAU René, qui habite rue Champanette à Waremme et qui travaille avec son père dans la maçonnerie, termine 8ème d’une course cycliste à Oleye.

La construction en Hesbaye

A partir de 476, à la chute de l’Empire Romain, l’art de bâtir en pierre disparaît progressivement en Hesbaye. Les nouvelles constructions seront faites de bois et de torchis.

Mort de Ferdinand Francart (Crisnée)

En 1924, FRANCARD (T ?) Ferdinand décède à Crisnée, à l’âge de 85 ans. Il était maçon. Il était veuf de PINTE Marie-Hélène.

Mort de Rémi-Joseph Bure (Crisnée)

En 1923, BURE Rémi-Joseph décède à Crisnée, à l’âge de 71 ans. Il était badigeonneur. Sa veuve est LEDUC Marie-Agnès.

Mort de François-Ferdinand Bure (Crisnée)

En 1898, BURE François-Ferdinand décède à Crisnée, à l’âge de 65 ans. Il était entrepreneur. Il était veuf de COLLARD Marie-Jeanne.

Mort de Gilles Thonon (Crisnée)

En 1888, THONON Gilles décède à Crisnée, à l’âge de 53 ans. Il était entrepreneur. Sa veuve est DERRIN Marie.

La commune emploie des chômeurs (Crisnée)

Le 6 mars 1915, vu le grand nombre d’ouvriers sans travail, le conseil communal de Crisnée décide d’employer tous les chômeurs à des travaux d’assainissement et d’amélioration de la voirie, au salaire de 2 francs la journée de travail de 10 heures, qui sera réglé chaque dimanche. Ce travail achevé, les chômeurs devront extraire, concasser, transporter du silex pour empierrer un chemin de terre. Ces chômeurs sont de 20 à 30.