En 1950, le nombre de chevaux de labour élevés dans l’arrondissement de Waremme est de 5406.
Archives de catégorie : Elevage
Les chevaux à Waremme
En 1895, le nombre de chevaux de labour élevés dans l’arrondissement de Waremme est de 6341.
Les chevaux à Waremme
En 1846, le nombre de chevaux de labour élevés dans l’arrondissement de Waremme est de 9774.
Les bovins à Waremme
En 1950, le nombre de bovins élevés dans l’arrondissement de Waremme est de 31.565.
Les bovins à Waremme
En 1895, le nombre de bovins élevés dans l’arrondissement de Waremme est de 24.459.
Les bovins à Waremme
En 1846, le nombre de bovins élevés dans l’arrondissement de Waremme est de 18.482.
Guillaume Lefèbvre, éleveur (Rosoux-Crenwick – Hesbaye)
Le 1er janvier 1941, LEFEBVRE Guillaume, de Rosoux-Crenwick, souscrit sa cotisation annuelle de 6 francs à la Fédération des Syndicats d’Elevage de Bétail de la Région Hesbignonne.
Guillaume Lefèbvre, éleveur (Rosoux-Crenwick – Hesbaye)
Le 1er janvier 1944, LEFEBVRE Guillaume, de Rosoux-Crenwick, souscrit sa cotisation annuelle de 6 francs à la Fédération des Syndicats d’Elevage de Bétail de la Région Hesbignonne.
Construction de la ferme en carré de Ligney
Au 18ème siècle, la ferme en carré de Ligney est construite par DACOS Joseph et son épouse PERILLEUX Catherine (à l’endroit qui s’appellera bien plus tard la rue de l’Ecole).
Ils cèderont cette importante exploitation à leur fille unique DACOS Anne-Jeanne, épouse TOMBEUR Cosme.
Un registre du 18ème siècle y mentionne 18 chevaux de labour, des chevaux de selle, ainsi qu’un bétail important comprenant un taureau. Quant à la main d’oeuvre, elle comprend +/- 15 personnes, embauchées à la Saint-André, jusqu’à la Saint-André suivante, presque toutes sédentaires.
La ferme en carré de Celles
En 1663, la ferme en carré située à Celles (à l’endroit qui portera bien plus tard le nom de Place Joseph Wauters) appartient à DE NEUFCOURT Anne-Marie. Elle proviendrait de DE SELLE Catherine. La propriétaire y fait procéder à d’importantes restaurations rendues nécessaires par les dégâts causés par les Lorrains.
Les bâtiments se composent d’un logis en briques et pierres de Namur, qui comprend une salle pavée, une cuisine, une petite chambre derrière la cuisine, le tout blanchi et éclairé par des fenêtres à croisée, munies de vitres et de barreaux. Deux escaliers mènent à la cave et au grenier.
Viennent s’y ajouter:
- la demeure du censier près de l’entrée
- la « lavanderie »
- la « brassine avec fourt »
- deux étables
- un colombier
- une petite grange
- une grange avec une porte « joindante » à l’étable à vaches
- une étable à brebis