Le 27 juin 2003, l’expert judiciaire désigné par le parquet de Liège, Monsieur HOTTE, estime que le feu a été bouté volontairement à l’ancien Hôtel de Hesbaye. Il s’agirait donc bien d’un acte criminel.
Le 13 juin 2003, GENARD Georges, l’administrateur-délégué de la S.A. « Lambert Products », grossiste en huiles et lubrifiants, émet le projet de réaliser un hôtel 3 étoiles dans la maison « Renwart » située rue de Huy à Waremme.
alain ducasse
En 1990, le cuisinier français, DUCASSE Alain, dont le restaurant est le « Louis XV » de l’Hôtel de Paris à Monaco, obtient une troisième étoile au Guide Michelin.
En 1989, STRAUVEN Léon est confirmé président de la société colombophile « L’Epervier », qui dispose de locaux à l’Hôtel de Hesbaye, face à la gare Waremme.
aristote onassis
En 1953, l’armateur grec, ONASSIS Aristote, devient le principal actionnaire de la « Société des Bains de Mer » de Monaco, qui possède ou dirige le célèbre casino de Monte-Carlo, l’Hôtel de Paris, les jardins et la plupart des affaires de la Principauté.
En 1949, l’imprimerie FRAIPONT-BODEN est située est située rue Joseph Wauters à Waremme, probablement à l’emplacement de l’ancien Hôtel « delle Taxhe ».
Les époux FRAIPONT-BODEN sont les parents de l’abbé FRAIPONT. (C’est à cet endroit que s’installera plus tard l’agence de banque « CGER », puis l’agence de banque « Fortis ».
En 1949, Monsieur MATHEI L. occupe un immeuble situé rue Hubert Stiernet à Waremme, à gauche d’une impasse, à l’emplacement de l’ancien hôtel « Du Cerf ». (Il sera plus tard occupé par la Halte-garderie « La Diablotine »).
Le 11 mai 1940, alors que l’aviation belge tente de détruire les ponts de Vroenhoven et de Veldwezelt qui n’ont pas sauté, le Gloster Gladiator du capitaine GUISGAND, est mis à mal par des Messerschmitt Me 109 allemands. Il doit se poser en catastrophe dans la campagne de Faîmes, dans le champs de betteraves du fermier VANDERMEIR Georges, sous les yeux de HUMBLET Camille, son fils HUMBLET Hubert et du domestique SEBA Joseph, qui répandent de l’engrais sur le champs d’avoine « HUMBLET ».
Ils le voient sauter de l’appareil, couvert d’huile et blessé au visage. Il prend ensuite calmement la direction de Waremme. Là, il se rend à la gendarmerie, d’où il téléphone à l’état-major de son escadrille, à Beauvechain.
Il se rend ensuite à la pharmacie « GIELEN » où on lui donne des compresses pour ses blessures au visage. Sur les conseils du pharmacien, il va prendre un petit-déjeuner à l’Hôtel « LAVAL », en face de la gare. Il y attend le véhicule de maintenance de son escadrille.
En 1933, RAMQUET Jules, dit « Dudule », est le fils cadet des exploitants de l’Hôtel du Cheval Blanc, situé rue Neuve (rue Emile Hallet ?) à Waremme.
Vers 1924, « l’Hôtel moderne », également appelé « Hôtel de la Station », se trouve au coin de la rue de la Station (qui deviendra l’Avenue Reine Astrid) et de la Place de la Station (qui deviendra Place Ernest Rongvaux) à Waremme,.
Au rez-de-chaussée, le même bâtiment abrite une succursale de la « Banque Agricole » et un café (qui sera exploité par Monsieur AERTS puis par RENIER Théo).