En 1278, il y a un moulin banal à Lantremange. Les habitants de la seigneurie sont tenus de l’utiliser et de payer une redevance au Seigneur
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La Seigneurie de Hemricourt
En juin 1632, la Seigneurie de Hemricourt (Remicourt) consiste en une haute, moyenne et basse justice; une maison-forte (château ?) et ses cour, jardin, prés, terres, rentes et cens; les banalités du moulin, de la brasserie et du four. La superficie est d’environ 100 bonniers. Les rentes s’élèvent à 35 muids d’épeautre, 66 chapons et 238 deniers fortis.
La Seigneurie de Hemricourt avant 1287
Le Seigneur est propriétaire foncier. Son château-fort lui sert de résidence, ainsi qu’à ses homme d’armes. A côté de celui-ci, une imposante ferme exploite les nombreuses terres, qui constituent sa réserve seigneuriale. Non loin de là, en bordure de l’Yerne, au lieu-dit « le Vivier », son moulin à eau est fréquenté par la population soumise aux bannalités. Aux environs de cet ensemble, se trouvent les maisons et les huttes de la population. Elles sont établies le long du « Mont » (qui deviendra, bien plus tard la rue du Presbytère), à la « Maikèse » (qui deviendra la rue du Haut-Vinave) et près du pont jeté sur l’Yerne.
La population vit dans un état voisin du servage. Elle ne peut quitter le village, ni se marier au-dehors, sans le consentement du Seigneur.
Elle est soumise à un ensemble de redevances et d’obligations, dont certaines ont un caractère personnel et d’autres sont inhérentes à la nature du bien mis en oeuvre. C’est ainsi que cette population:
- est soumise à la justice du Seigneur;
- lui doit un nombre considérable de corvées (grâce aux-quelles il entretient sa réserve seigneuriale);
- est sujette aux bannalités (par exemple, l’obligation de moudre le grain au moulin du Seigneur, moyennant paiement) et au droit de morte-main (en vertu duquel, après le trépas d’un chef de famille, le seigneur s’empare du meuble le plus riche de la maison);
- est soumise à la « taille » (prélèvement que le Seigneur effectue sur les revenus des villageois, en échange de sa protection).
Les « serfs » sont soumis aux exigences arbitraires du Seigneur. Ils sont « Taillables et corvéables à merci ».
Redevance sur les terrasses commerciales à Waremme
En mars 2009, un commerçant de Waremme qui décide d’aménager une terrasse doit soumettre son plan d’aménagement extérieur au conseil communal et devra verser une redevance de 15 euros par m2.
L’Iran abandonne le projet « Ibramco » (Belgique)
Le 18 janvier 1974, les des tergiversations de la Belgique, l’Iran annonce qu’elle abandonne le projet « Ibramco ».