En 2004, le géant américain « BOUMATIC » rachète les usines MELOTTE de Remicourt et fait de celles-ci son centre de distribution pour l’Europe.
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Fusion de l’usine Mélotte (Remicourt – Angleterre)
Dans les année 70 (?), les usines MELOTTE, de Remicourt, fusionnent avec le groupe anglais GASCOIGNE.
L’usine Mélotte (Remicourt)
En 1910, l’usine MELOTTE, de Remicourt, est l’une des plus modernes d’Europe, avec une production de 26.000 écrémeuses vendues dans le monde entier. (L’entreprise emploiera jusque 1.200 ouvriers).
Le directeur Henrard (Remicourt)
En 1942, Monsieur HENRARD est directeur des usines MELOTTE, à Remicourt.
Extraction de phosphate (Remicourt)
En 1942, l’industrie d’extraction du phosphate est relancée à Remicourt.
Un cadeau pour Jules Mélotte (Remicourt – Londres)
En 1917, HENRARD Fernand, directeur de l’usine « MELOTTE » à Remicourt, offre à MELOTTE Jules, malade et réfugié à Londres, un livre sur les méthodes adoptées par FORD aux Etats-Unis: « Ford Methods and the Ford Shops ».
Indemnité pour le personnel « Mélotte » (Remicourt – Gand)
En 1913, les membres du personnel des usines « MELOTTE » de Remicourt reçoivent une indemnité de 10 francs pour leur permettre d’aller visiter le pavillon de l’entreprise à l’Exposition de Gand.
Anniversaire de l’écrémeuse Mélotte (Remicourt)
En 1913, les usines MELOTTE de Remicourt fêtent le 25ème anniversaire de l’invention de l’écrémeuse à bol librement suspendu. Un banquet y est organisé. Il réunit 800 convives, des personnalités et les membres du personnel.
Banquet à Remicourt
Le 10 novembre 1906, le personnel des usines MELOTTE , de Remicourt, est convié à un banquet et se voit offrir une miniature du bronze, signé par le sculpteur liégeois BERCKMANS, représentant le bas-relief reçu par le patron de l’entreprise, MELOTTE Jules, à l’occasion de sa nomination au titre de Chevalier de l’Ordre de Léopold.
Les ouvriers waremmiens
Vers 1895 (?), les ouvriers de la région de Waremme qui travaillent dans les centres industriels et les charbonnages du bassin liégeois, se lèvent à 3h30 ou à 4h du matin, font à pied les 5 ou 7 kilomètres qui les séparent d’une gare. Certains ont la chance d’attendre le convoi dans un vieux wagon qui peut servir d’abri à une vingtaine de personnes (il y a 300 abonnés dans la région). Lorsqu’ils montent dans le train, ils s’efforcent d’y récupérer 1/4 h de sommeil.
Ils portent généralement les vêtements de la veille, qui n’ont pu être ni brossés, ni séchés, de semaines en semaines. Leur casquette devient de plus en plus loqueteuse et luisante. Lors des grands froids, ils portent une écharpe sur leur costume de velours roux ou de coton chiffonné.