L’organisation de Waremme au 11ème siècle

Vers 1078, il existe déjà à Waremme: un marché local (mercatum), sur lequel une taxe (theloneum – tonlieu) rapporte au Seigneur la somme annuelle de 2 livres (à savoir l’équivalent d’un troupeau de 40 porcs ou de 80 moutons); une église domaniale, dont le curé desservant doit acquitter, chaque année, un porc, six pains, deux setiers de vin et quatre chapons. L’église a donc sa (ses) propre(s) ferme(s).

L’organisation générale du domaine est assurée par un mayeur (villicus) et la justice est rendue par une Cour de Justice (appelée « plaid ») qui est présidée par le mayeur. La protection du domaine est assurée par un avoué laïc (advocatus), en l’occurrence DE DURBUY Henri, frère du Comte de Namur ALBERT II. Pour cette fonction d’avoué, DE DURBUY Henry reçoit le hameau de Hartenge, dont il touche les revenus et où il vit dans une villa. Il perçoit également le troisième denier sur les « Plaids Généraux » : chaque année, les habitants se réunissent en assemblée générale, à 3 reprises, pour régler les affaires communales, juger les contraventions légères, réparer les torts et les injustices. Le mayeur ou chef de la cour de justice, préside les plaids généraux.

Enfin, un forestier (forestarius) gère les forêts du domaine et un percepteur des droits (thelonarius) récolte les impôts et les taxes. Les censitaires doivent, en effet payer une rente : 4 deniers pour un homme et 2 pour une femme. En contrepartie de ces impôts, Ils peuvent demander la protection de l’avoué contre tout acte de violence ou d’usurpation des biens. Cet avoué peut utiliser la force, car l’action des cours de justice ne suffit pas, dans cette première période du Moyen-Âge, pour assurer la sécurité des individus et la conservation des propriétés.

Le tonloyer est le percepteur des « tonlieus » : des droits perçus sur la circulation des marchandises et sur les transactions.

En 1078, le forestier, le prêtre et le tonloyer doivent des offrandes au Seigneur de Waremme, à Noël et à Pâques : chacun doit lui fournir 1 porc, 2 setiers de vin, 6 pains et 4 poulets. Le villicus doit, quant à lui : 2 porcs, 2 setiers de vin, 6 pains et 6 poulets. Le doyen laïque doit : 1 porc, 1 setier de vin, 4 pains et 2 poulets.

En 1078, Waremme n’est pas une agglomération au sens actuel du terme. C’est un grand domaine, vivant en autarcie dans un milieu rural, parsemé de fermes exploitées par des censitaires.

Ouverture du Marché de Noël de Waremme

Le 9 décembre 2011, le village de Noël est inauguré sur la place du Roi Albert 1er à Waremme. Cette année, il compte 26 chalets en bois. Il restera ouvert jusqu’au 11 décembre inclus.

Les producteurs de lait descendent sur le marché de Waremme

Le 9 octobre 2009, une soixantaine d’agriculteurs descendent sur le marché de Waremme, afin d’expliquer aux citoyens les raisons pour lesquelles ils ont déversé des millions de litres de lait. Par cette action pédagogique, les agriculteurs veulent démontrer au grand public qu’ils ne sont pas des gaspilleurs.

Le Marché du Soir de Waremme

Le 25 septembre 2005, le Syndicat d’Initiative de Waremme organise son traditionnel « Marché du Soir ». Pour l’occasion, la rue Joseph Wauters et l’avenue Reine Astrid sont rendues piétonnières. Le président du syndicat d’initiative est PARENT Edmond.

Marché du Soir dans le centre de Waremme

Le 19 septembre 2004, le Syndicat d’Initiative de Hesbaye organise son traditionnel « Marché du Soir », dans le centre de Waremme, dans la rue Joseph Wauters et l’avenue Reine Astrid.

Un Marché du Soir à Waremme

En septembre 2002, un marché du soir est organisé dans la rue Joseph Wauters et l’avenue Reine Astrid à Waremme. On y compte plus de septante exposants.

Le premier « Marché du Soir » de Waremme

Le 3 septembre 1995, un premier « Marché du Soir » est organisé par le Syndicat d’Initiative de Waremme.

Clarke écrit « 2001, L’Odyssée de l’Espace » (Grande-Bretagne)

arthur charles clarke

arthur charles clarke

En 1968, l’écrivain britannique, CLARKE Arthur Charles, publie le roman de science-fiction « 2001, l’Odyssée de l’Espace ».

Le marché du vendredi est rétabli (Waremme)

Fin de l’année 1947, le marché hebdomadaire du vendredi est rétabli à Waremme. Il avait été supprimé pendant la guerre. Une taxe de 10 francs par véhicule et de 5 francs par mètre réservé aux échoppes, frappe désormais les exploitants.