Fernand Magnée, dentiste (Waremme)

En 1935, le dentiste MAGNEE Fernand exerce rue Gustave Renier à Waremme, dans la maison de l’architecte GONTHIER Richard, dont il a loué une partie du rez-de-chaussée. Le cabinet se trouve à l’arrière et la salle d’attente à l’avant, sur la rue. Il a apposé une plaque en cuivre sur la façade, à droite de la porte d’entrée.

La femme et la fille « Gonthier », sauvées (Waremme)

Le 28 août 1944, lors de l’explosion de la bombe à l’arrière de la maison voisine de lélectricien PUTZEYS Louis, rue Gustave Renier à Waremme, la femme et la fille de l’architecte GONTHIER Richard se trouvent dans l’arrière-cuisine. Elles sont couvertes de mille petits débris, mais sont indemnes. Traumatisées, elles sortent par l’arrière de ce qui reste du bâtiment, et vont se réfugier à la Boucherie « FORET ».

Fernand Magnée et ses patientes, sauvés (Waremme)

Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe à l’arrière de la maison voisine de l’électricien « PUTZEYS », rue Gustave Renier à Waremme, les sauveteurs libèrent le dentiste MAGNEE Fernand, FRERE Marie, MANGON Marie et un soeur Dominicaine, qui s’étaient réfugiés dans la cave de la maison de l’architecte GONTHIER. Les volontaires parviennent à les faire sortir par le soupirail de la façade. L’escalier menant à cette cave est obstrué par une tonne d’éboulis.

 

Le coin « Mathot » est ravagé (Waremme)

Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe tombée à l’arrière du magasin de l’électricien PUTZEYS Louis, tout le coin de la rue Gustave Renier et de la rue de Huy est ravagé.

  • La pâtisserie « MATHOT » est pulvérisée.
  • Le commerce de salaisons « STOUVENAKERS » a été soufflé.
  • La maison « RENIER » est détruite.
  • La petite maison « WUIPIEDS » (« le Poilu ») a complètement disparu.
  • Le magasin de l’électricien « PUTZEYS » et l’atelier de la couturière « PERQUI » ne sont plus que ruines.
  • La maison de l’architecte GONTHIER Richard est coupée en deux. Toute la partie droite s’est effondrée. Il ne reste plus rien de ce qui était la salle d’attente et le cabinet du dentiste MAGNEE Fernand.

Des abris pour la population (Waremme)

En 1944, sous la direction de l’architecte GERBEHAYE, la brigade des pompiers de Waremme, sous la direction de WEBER Jean-Baptiste, montre aux habitants comment renforcer leur cave en l’étançonnant et comment construire des abris.

Des tranchées le long des routes (Waremme)

En 1944, l’archtecte GERBEHAYE fait le relevé des routes, sur le territoire de Waremme, le long desquelles les Allemands réclament que des tranchées soient réalisées, pour servir d’abri aux troupes en mouvement, en cas d’attaque aérienne alliée.

Richard Gonthier, architecte (Waremme)

En 1944, GONTHIER Richard est architecte à Waremme. Il habite, avec sa famille, une confortable maison située à l’entrée de la rue Gustave Renier, à côté de l’électricien PUTZEYS. Sa maison étant suffisamment vaste, il en loue le rez-de-chaussée.

Petit, rablé, il a les doigts jaunis par la nicotine.

Alexia Ciancio, nouvelle employée (Waremme)

En janvier 2016, CIANCIO Alexia, architecte, a récemment été engagée par la ville de Waremme, comme conseillère en aménagement. Elle est affectée au service de l’Urbanisme.

Guillaume Joachim, président (Waremme – Liège)

Le 1er juillet 1922, le Socialiste waremmien, JOACHIM Guillaume, architecte, est nommé président du Conseil Provincial de Liège. Il occupera cette fonction jusqu’en 1925.

Guillaume Joachim, conseiller communal (Waremme)

En 1907, l’architecte JOACHIM Guillaume est élu conseiller communal de Waremme, sur une liste de cartel avec les Libéraux. C’est la première fois qu’un socialiste accède à cette fonction à Waremme. Il sera réélu pendant 40 ans.