Inauguration du Théâtre Bolchoï (Russie)

théâtre bolchoï

théâtre bolchoï

Le 18 janvier 1825, le Théâtre Bolchoï est inauguré à Moscou. Il a été conçu par l’architecte BEAUVAIS Joseph Jean-Baptiste.

joseph beauvais

joseph beauvais

Philippe Rihon, gérant (Faimes)

En novembre 2013, RIHON Philippe, architecte d’intérieur, exploite le magasin de cuisines, salles de bain et placards « HANNOSSET », situé rue de Huy, à Faimes.

C’est son grand-père, HANNOSSET Gaston, qui a fondé l’entreprise en 1945.

Présentation des travaux à la piscine (Waremme)

En mars 2015, les travaux de rénovation de la piscine communale sont présentés, à Waremme. Ils s’effectueront en deux phases:

Premier dossier:

  • Remise à neuf des bétons de la structure
  • Remise à neuf des plages
  • Isolation, réfection des sols et nouvelle ventilation des vestiaires
  • Nouveau système d’éclairage

Pour ce dossier, il est prévu 180 jours de travaux. Le coût est estimé à 1.278.431 euros, subsidié à hauteur de 1.100.000 d’euros. L’architecte est VONECHE Benoit et l’entrepreneur AM « DIERDERICKX – Bâtisseurs ».

Deuxième dossier:

  • Rénovation de la toiture (Mais le Conseil Communal doit encore marquer son accord  et le permis d’urbanisme doit encore être demandé)

Pour ce dossier, le coût est estimé à 1.432.000 euros, subsidié à hauteur de 1.250.000 euros.

Richard Gonthier, architecte (Waremme)

En 1920, l’architecte GONTHIER Richard est installé au n° 23 de la rue des Boulevards (qui deviendra plus tard la rue des remparts), à Waremme.

Le sauvetage de Dédée Joirquin (Waremme)

Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe à l’arrière de la maison de l’électricien PUTZEYS Louis (immeuble dans lequel se trouve également l’atelier de couture PERQUI), rue Gustave Renier à Waremme, JOIRQUIN Charles appelle sa fille, JOIRQUIN Dédée, sur les ruines de la maison. Après un moment, elle lui répond. Sa voix est faible. Il se faufile par le soupirail de la maison voisine, celle de l’architecte GONTHIER, pour accéder à la maison « PUTZEYS » par les caves. Mais la tâche s’avère compliquée, car la cave contiguë est partiellement effondrée et le plafond est incliné à 45°.

DELVELLE Fernand, ainsi qu’un « feldgrau » allemand le rejoignent. Le travail est difficile et épuisant. MOES Céléste, qui a travaillé dans des puits de phosphate, vient leur prêter main-forte. Il comprend qu’il faut étançonner le tunnel au fur et à mesure que l’on avance. Durant les travaux, le jeune fille répond aux appels, mais sa voix est de plus en plus faible. Aucune autre ne voix ne se fait entendre. A l’extérieur, les gendarmes DELVIGNE Louis et PIRLOT Firmin sécurisent les lieux.

D’autres secouristes viennent aider ceux qui sont déjà à l’oeuvre: DEGROOT Félix, DELVAUX Oscar et MAHIELS Joseph, dit « Li Vê ». Tous trois ont été mineurs. Ils parviennent à percer le mur mitoyen. Le plafond de la cave « PUTZEYS » est effondré. Les sauveteurs progressent lentement. Enfin, ils aperçoivent des vêtements. Ils arrivent près de la jeune fille.

En plus des débris de plâtras et de briques qui la recouvrent, elle est bloquée par une grosse solive. Les hommes entreprennent de la scier. JOIRQUIN Dédée s’évanouit à plusieurs reprises. Ils parviennent à la dégager et à la ramener dans la cave « GONTHIER ». Ils la sortent par le soupirail.

Son père, JOIRQUIN Charles, et le tailleur BRASSINE Roger l’emmènent sur une civière à la clinique Joseph Wauters. Le docteur EVRARD constate qu’elle n’est pas gravement touchée. La solive l’a protégée !

Fernand Magnée, dentiste (Waremme)

En 1935, le dentiste MAGNEE Fernand exerce rue Gustave Renier à Waremme, dans la maison de l’architecte GONTHIER Richard, dont il a loué une partie du rez-de-chaussée. Le cabinet se trouve à l’arrière et la salle d’attente à l’avant, sur la rue. Il a apposé une plaque en cuivre sur la façade, à droite de la porte d’entrée.

La femme et la fille « Gonthier », sauvées (Waremme)

Le 28 août 1944, lors de l’explosion de la bombe à l’arrière de la maison voisine de lélectricien PUTZEYS Louis, rue Gustave Renier à Waremme, la femme et la fille de l’architecte GONTHIER Richard se trouvent dans l’arrière-cuisine. Elles sont couvertes de mille petits débris, mais sont indemnes. Traumatisées, elles sortent par l’arrière de ce qui reste du bâtiment, et vont se réfugier à la Boucherie « FORET ».