Restauration de l’église (Hodeige)

En avril 1905, les travaux de restauration de l’église de Hodeige sont entamés. L’architecte chargé de ces travaux est LOHEST.

Les travaux consistent en la restauration de l’église existante, fort délabrée, ainsi qu’en son agrandissement, par l’ajout d’une nef latérale.

Le monument s’élève au milieu du cimetière. Avant les travaux, il n’a que 2 nefs, recouvertes par des plafonds en lattes, et construites dans le style flamboyant de XVème siècle (ou du commencement du XVIème siècle), mais dont le caractère architectonique a entièrement disparu lors des restaurations effectuées à la Renaissance. Le remplissage des fenêtres a été enlevé et il ne reste plus que des ouvertures de baies informes et dépouillées de tout ornement. Les matériaux, destinés dans la pensée du constructeur à être vus, ont été recouverts soit d’un épais badigeon, soit d’une couleur « agressive ». La grande fenêtre percée dans le mur plat du choeur a été bouchée par une maçonnerie et, à l’intérieur, est masquée par le maître-autel. Enfin, les murs ainsi que les toits, en fort mauvais état, achèvent de donner à cet édifice l’aspect d’une ruine plutôt que d’une église servant au culte divin.

Construction d’une troisième nef (Hodeige)

Le 30 avril 1905, à 3h30 de l’après-midi, l’abbé MATERNE, doyen de Waremme, assisté de:

  • l’abbé MARECHAL Edouard, curé de Hodeige
  • l’abbé MARC L., curé de Lens-sur-Geer
  • l’abbé POOT A., chapelain de Lamay

et en présence de:

  • LOHEST F., architecte
  • RYCKMANS J., entrepreneur
  • LATOUR J., bourgmestre de Hodeige
  • MALCHAIR L., échevin
  • FERON J., BRENNE F., DUPONT N., conseillers de Fabrique

bénit et place la première pierre de la troisième nef de l’église de Hodeige. Cette cérémonie se fait au milieu d’un grand concours de monde.

Projet de recouvrement de l’Yerne (Remicourt)

En mars 1947, la commune de Remicourt projette le recouvrement de l’Yerne, sur base de plans que dressera l’architecte UMELS.

Monument à Notre-Dame de Banneux (Remicourt)

Vers 1952 (?), le Conseil de la Fabrique d’Eglise de Remicourt, à la demande d’un groupe de paroissiens, fait ériger un monument à Notre-Dame de Banneux. C’est l’architecte RADOUX Georges qui en adressé les plans. Ce sont les paroissiens demandeurs qui règleront les factures.

Une armoire pour la sacristie (Remicourt)

Le 21 août 1916, le menuisier de Remicourt LAMBOTTE Emile installe, à la sacristie de l’église du village, une armoire qu’il a confectionnée sur un plan dressé par MOES E., architecte à Ans, pour un coût de 725 francs.

Plans de transformation (Remicourt)

Le 10 septembre 1925, l’architecte BRICTEUX est invité au conseil communal de Remicourt pour y présenter les plans d’aménagement en crèche de la maison « COLSON ». Après différentes péripéties, le projet sera finalement abandonné.

La crèche dans la maison Colson (Remicourt)

Le 7 janvier 1925, les Hospices Civils de Remicourt proposent à la commune de lui céder la maison « COLSON », occupée par BRENNE Martin, pour y établir une crèche. La commune accepte et mandate l’architecte BRICTEUX pour réaliser les plans de transformation.

Nouvelle école à Remicourt

Vers 1905 (?), sur un terrain vendu par les Hospices Civils de Liège (jouxtant l’ancienne maison de DELHAUTEUR Armand), le maître-maçon KINET Jules édifie une nouvelle école à Remicourt, selon les plans de l’architecte BRICTEUX.

Cette nouvelle école sera dirigée par Mademoiselle GENON.

Approbation des plans de l’école (Remicourt)

Le 5 février 1927, le Conseil Communal de Remicourt approuve les plans de la future école gardienne, réalisés par l’architecte BRICTEUX, mais supprime le préau.

Dans la même adjudication, le Conseil Communal décide le placement d’une pompe à l’école des filles.

Plans de l’école gardienne (Remicourt)

Le 20 septembre 1926, l’architecte BRICTEUX présente les plans de la future école gardienne de Remicourt.