Les corps de métiers (Waremme)

En 1494, il y a plusieurs corps de métiers à Waremme:

  • les boulangers
  • les brasseurs
  • les mangons
  • les merciers
  • les viniers

D’autres s’y ajouteront par la suite:

  • les parmentiers
  • les fèvres
  • les maçons
  • les cordonniers
  • les charpentiers

Hubert Docquier, entrepreneur (Waremme)

En mai 1937, DOCQUIER Hubert est entrepreneur en maçonnerie / menuiserie, charpenterie, à Ligney-Waremme. Il vend également des matériaux de construction et des briques.

Son numéro de téléphone est le 264.

Camille Nélis, monteur en charpente (Berloz)

En janvier 1940, NELIS Camille est monteur en charpente, à Berloz. Son épouse est HELLA Marie.

Quelques artisans de Hemricourt

En 1393, quelques artisans de Hemricourt:

  • BAUDUIN, charpentier
  • STASSART Mathié, boulanger
  • WILMOTON, cordonnier (corbesier)
  • LAMBILLON Lentailleur, tailleur d’habits

Le moulin de Walkin doit être réparé (Waremme)

Le 4 mai 1848, le Baron DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond inspecte le moulin de Walkin, à Waremme, avec le charpentier THOMAS Lambert et le maçon LISMONDE Nicolas, car des réparations sont nécessaires.

Quelques habitants de Grand-Axhe

En 1903, habitent à Grand-Axhe:

  • BOURGUIGNON Jules, trompettiste amateur
  • La famille CAVERENNE
  • CLAES Alexandre, chauffeur
  • CLAES Henri-Gustave, journalier
  • CLAES Laurent, cultivateur
  • La famille DUCHATEAU
  • GERADON Joseph, charpentier
  • GERADON Nicolas, garde-champêtre
  • GOFFIN François, garde-champêtre (?)
  • La famille KINET
  • LEBEAU Henri-Joseph, ouvrier au chemin de fer
  • La famille PIRSON
  • UTTEN Alphonse, journalier

Création de la Coopérative « La Justice » (Waremme)

création de la coopérative la justice

création de la coopérative la justice

Le 28 septembre 1898,  la Coopérative « La Justice » est fondée à Waremme par WAUTERS Joseph, surnommé « Jeck », étudiant à l’université de Liège,alors âgé de 23 ans et quelques amis socialistes waremmiens (1 cultivateur, 1 domestique, 1 journalier, 1 maçon, 1 ébéniste, 3 ouvriers d’usine, 1 charpentier, 1 menuisier). Une autre cheville ouvrière de la coopérative est le comptable, DENIS Désiré. Au départ, les membres se réuniront tous les dimanches matin au café « Au Coeur d’Or » (local des Libéraux !).

Par la suite, la Coopérative s’installe rue de la Station, mais elle dispose d’une boutique rue du Pont (au n° 35 de la future rue Hubert Stiernet), louée pour 450 francs par an. En plus des produits alimentaires, on y vend des ustensiles ménagers variés. Avec l’argent des premières cotisations, la coopérative achète une charrette et un cheval. Elle va mettre en place une mutuelle d’achats.

Son but principal est d’offrir aux travailleurs des produits de qualité, à un prix accessible et d’intervenir partout, dans les luttes en faveur des pauvres (l’alimentation pèse très lourd dans les budgets). Dans sa « philosophie », tous les profits engrangés doivent retourner aux consommateurs nécessiteux.

Outre l’alimentation, la Coopérative entend offrir d’autres services:

  • une partie du budget servira à alimenter des caisses de pension et d’assurance pour les accidents;
  • un quart des bénéfices sera destiné à soutenir l’action politique;
  • le reste reviendra aux coopérateurs sous forme de ristournes

La coopérative assure une certaine indépendance aux ouvriers.

Les statuts de la coopérative « La Justice » sont rédigés par HENAULT Valère et MOUZON Eugène.

Quelque temps plus tard, une boulangerie s’installe en face, rue du Pont (au n° 32 de l’actuelle rue Hubert Stiernet).

Des charrettes sillonneront régulièrement toute la région, transportant du pain et d’autres marchandises.

Les membres fondateurs de la Coopérative

  • BARTHOLOME J-B
  • BRIEN D.
  • CROTTEUX M.
  • DENIS Désiré
  • DUBOIS A.-J.
  • GOUTERS Charles
  • GRAMME Valentin
  • PIRSON F.
  • PLOMTEUX A.
  • RORIVE Pierre
  • WAUTERS Joseph