En 1639, COLLON Nicolas est marguillier à Fize-le-Marsal.
Archives de catégorie : Marguillier
Le marguillier Renson (Fize-le-Marsal)
En 1742, RENSON (?) est marguillier à Fize-le-Marsal.
Travaux dans l’église (Corswarem)
En 1740, le Comte DE CORSWAREM Joseph-Clément verse 52 francs au Marguillier de Corswarem, DENVOZ Philippe, pour avoir plafonné le coeur de l’église du village et y avoir apposé ses armoiries (du comte !).
Philippe Denvoz, marguillier (Corswarem)
En 1740, DENVOZ Philippe est marguillier à Corswarem.
Mort de Clément Francou (Lowaige – Hesbaye – Lamine – Jeneffe)
Le 27 juillet 1944, FRANCOU Clément, volontaire au Commando de Résistants « Section Punitive Belge » (SPB), appelé familièrement « Groupe Zoro », dirigé par DERWA Arthur, dit « Arthur », est tué à Lowaige. Il était originaire de Lamine. Il était le fils du marguillier de Jeneffe, FRANCOU (?).
Jean-Michel Riga, marguillier (Jeneffe)
En 1743, RIGA Jean-Michel est marguillier à Jeneffe.
Jean Hubert, sonneur (Jeneffe)
En 1743, HUBERT Jean aide le marguillier de Jeneffe à faire sonner les cloches de l’église du village.
La dîme de Hodeige
En 1790, la dîme de Hodeige est levée sur:
- 168 bonniers et 2 petites verges et demi de durs grains;
- 159 bonniers 14 verges grandes et 10 petites d’avoine;
- 35 bonniers 16 verges grandes et 10 petites de fourrage.
Elle est vendue avec les droits pour 287 muids 1 setier (on a livré comme de coutume 8 muids 4 setiers à la marguillerie de Lamine, 200 gerbes de paille à la cure de Lamine évaluées à 19 florins 10 sols, 308 florins pour le vin de stuit, 250 florins pour « captiver » les repreneurs).
Le tout, sauf les frais, porte 4.053 florins 7 sous. (Les frais s’élèvent à 179 florins 9 sous. Ceux qui ont colligé (?) la dîme reçoivent 100 florins). Il faut donc 4.226 florins 6 sous 1 liard en argent pour payer la dîme de Hodeige.
Lambert Dirick, marguillier (Hodeige)
En janvier 1752, DIRICK Lambert est marguillier à Hodeige.
Location de bien à Hodeige
Le 20 janvier 1752, le marguillier de Hodeige, DIRICK Lambert, « rend à stuit » (donne en location ?), à BAYAR, licencié en médecine, pour un terme de 3 ans, une maison avec jardin et prairie, joignant au cimetière du village.
DIRICK Lambert se réserve une place pour habiter lui-même et qu’on appelle « la petite école« .