En juin 1970, le notaire REARD Pol est le président de la section de Waremme de la Croix-Rouge.
Archives de catégorie : Notaire
Don de sang récompensé (Waremme)
Le 7 mars 1970, le notaire REARD Paul, président de la section waremmienne de la Croix-Rouge, remet décorations et diplômes à une soixantaine de donneurs de sang de Waremme et de la région.
Claude Lefèvre, pompier (Waremme)
En avril 2014, LEFEVRE Claude est sous-lieutenant au Service Régional d’Incendie de Waremme.
Réédition du livre « Ici Otarie » (Waremme – Hannut)
En juillet 1989, le livre « Ici Otarie », écrit à l’issue de la dernière guerre par le notaire JAMOULLE Armand est réédité à l’initiative de la Fraternelle de l’AS Refuge Otarie et de la Commission de littérature et d’histoire de la ville de Waremme.
L’auteur y évoque le rôle joué par l’Armée Secrète dans la région de Hannut et de Waremme.
Les Notaires de Waremme
En 1970, les Notaires de Waremme sont:
- REARD Paul, dont l’étude se trouve au n° 6 de la rue de la Porte de Liège.
- FENAUX Guy, dont l’étude se trouve au n° 12 de la rue de Selys-Longchamps.
- DE LAMINNE DE BEX P (Pierre ?), dont l’étude se trouve au n° 65 de l’Avenue des Platanes.
De nouveaux locaux pour l’Ecole Moyenne (Waremme)
Le 6 avril 1874, le conseil communal de Waremme adopte le plan des nouveaux locaux de l’Ecole Moyenne de l’Etat, à aménager dans l’ancienne gendarmerie.
Votent pour:
- LEJEUNE Pierre-Gilles-Joseph-Jules, bourgmestre
- BOUX, juge de paix
- DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond
- FRERARD Philippe
- LAGASSE Walthère-Joseph
Vote contre:
- le notaire JACQUES-HOUSSA Emile
La « Librairie-Papeterie du Centre » (Waremme)
En juin 1958, la « Librairie-Papeterie du Centre », tenue par FRAIPONT M-L, est située au n° 22 de la rue Joseph Wauters à Waremme. Son n° de téléphone est le 320.76. Son n° de Registre de Commerce est Liège 7043.
Elle a pour client l’étude de Notaire REARD de la rue de la Porte de Liège à Waremme.
Une femme peut devenir notaire (Belgique)
En 1950, en Belgique, une femme peut devenir notaire (moyennant l’autorisation du mari pour une femme mariée).
Les femmes peuvent devenir notaire (Belgique)
Le 1er mars 1950, une loi autorise l’accès des femmes au notariat en Belgique.
Jean-henri Christiani arrache un mandement du Prince-Evêque et est dénoncé par le bourgmestre de Waremme
En 1775, le bourgmestre de Waremme, MONJOIE Joseph, adresse une requête au Prince-Evêque de Liège:
« … Les Bourgmestres et Magistrats de votre Bonne Ville de Waremme le Château, en acquit de leur devoir et à la suite du serment de fidélité qu’ils ont pretté à leure admission, envers vot Illustrissime Personne, ont l’honneur de remontrer très respectueusement à votre Altesse Celsissime qu’étant insinué du mandement en date du vingt-deux aoust dernier concernant la Convention faitte entre sa Majesté très Chrétienne (le Roi de France LOUIS XVI) et votre ditte Altesse au sujet de la restitution réciproque des déserteurs, ledit magistrat remontrant auroit fait publier ledit mandement au Péron de leure ville par leur Secrétaire et desuitte commandé à leur Huissier de l’afficher à leur hôtel de ville pour la connoissance d’un chacun come il leur était prescrit, le tout exécuté le trentun aoust dernier, ainsi qu’il conste de l’attestation cy-jointe sub numéro primo.
Mais ils apprennent avec surprise que le nommé CHRISTIANI Jean-Henri nottaire immatriculé, se rendit le même jour à leur hôtel et aiant lu ou regardé ce mandement affiché un peu auparavant, par ordre de votre Altesse et d’autorité magistrale, transporté de colère l’at arraché, s’étant émancipé de déchirer une partie dudit mandement par morceau et le jetter à terre dans la boue, et ne pouvant atteindre le résidu, attendu que le mandement était mis trop haut pour sa portée, il se munit d’une chaise et l’arracha entièrement, en justification de quoi se rejoignent trois déclarations passées par différentes personnes.
Et comme des acts pareils sont essetiellement attentoirs à vôtre autorité principalle, Monseigneur, impotans un mépris manifeste des Edits de votre Altesse, qui doivent être, de tous ses sujets, regardés comme une loi sacrée, digne de vénération, outre que ces cations sont vis-à-vis d’un magistrat réputées pour félonnes et turbatives, lequel dans l’administration de son office et en donnant parition aux ordres de son Prince, se voit contrecarré, empêché, foulé et lézé énormissimement par le fait sus-deplaindu.
A ces causes, le magistrat remontrant, ne pouvant en conscience tolérer un mépris publiq des ordonnances de votre Altesse et se voiant également souverainement méprisé, joint à cela la notoriété du fait établie par les déclarations cy-dessus, supplie respectueusement votre dite Altesse de porvoir à charge dudit CHRISTIANI, ainsi et comme elle trouvera le mieux convenir.
Quoi Faisant
Joseph MONJOIE, Bourgmaître Régent à cet effet commis et constitué de notre Magistrat … »
Le bourgmestre doit verser 4 florins et 10 sous de droits afférents à cette requête.