En 1915, RIGA Arthur est phosphatier à Viemme.
Archives de catégorie : Phosphatier
Le Comité de chômage de Viemme
En décembre 1915, le Comité de Chômage de Viemme est composé de:
- EVRARD Amand, directeur d’usine, président
- HUTOIS Alphonse, employé de commerce, secrétaire
- PETITJEAN Lambert, sans profession, trésorier
- LAURENT Mathieu, cultivateur
- HUTOIS Eugène, maçon
- ROBERT Joseph, maçon
- RIGA Arthur, phosphatier
Arthur Rigo, phosphatier (Viemme)
En 1915, RIGO Arthur est phosphatier à Viemme.
Arthur Rigo au Comité d’Alimentation (Viemme)
En décembre 1915, le phosphater RIGO Arthur est membre du Comité d’Alimentation de Viemme.
Le Comité d’Alimentation de Viemme
En décembre 1915, le Comité d’Alimentation de Viemme est composé de:
- HICTER Théophile, fermier, président
- JADOT Félicien, chimiste, secrétaire
- PETITJEAN Lucien, trésorier
- WATHOUL Valery, rentier
- ROBERT Alfred, maçon
- RIGO Arthur, phosphatier
Section syndicale à Momalle
En 1912, une section syndicale de la Centrale des Mineurs et des phosphatiers est créée à Momalle.
Gisements de phosphate (Momalle)
Après 1900, l’exploitation de gisements de phosphate, dans la région de Momalle, permet une augmentation des revenus de la classe ouvrière locale.
Camp d’entraînement allemand à Momalle
En 1914, l’armée allemande installe un camp d’entraînement à Momalle, au lieu-dit « Crève Coeur », dans le fond de Pissoule. Ils s’y exercent au tir sur les buttes des puits de phosphate.
Le sauvetage de Dédée Joirquin (Waremme)
Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe à l’arrière de la maison de l’électricien PUTZEYS Louis (immeuble dans lequel se trouve également l’atelier de couture PERQUI), rue Gustave Renier à Waremme, JOIRQUIN Charles appelle sa fille, JOIRQUIN Dédée, sur les ruines de la maison. Après un moment, elle lui répond. Sa voix est faible. Il se faufile par le soupirail de la maison voisine, celle de l’architecte GONTHIER, pour accéder à la maison « PUTZEYS » par les caves. Mais la tâche s’avère compliquée, car la cave contiguë est partiellement effondrée et le plafond est incliné à 45°.
DELVELLE Fernand, ainsi qu’un « feldgrau » allemand le rejoignent. Le travail est difficile et épuisant. MOES Céléste, qui a travaillé dans des puits de phosphate, vient leur prêter main-forte. Il comprend qu’il faut étançonner le tunnel au fur et à mesure que l’on avance. Durant les travaux, le jeune fille répond aux appels, mais sa voix est de plus en plus faible. Aucune autre ne voix ne se fait entendre. A l’extérieur, les gendarmes DELVIGNE Louis et PIRLOT Firmin sécurisent les lieux.
D’autres secouristes viennent aider ceux qui sont déjà à l’oeuvre: DEGROOT Félix, DELVAUX Oscar et MAHIELS Joseph, dit « Li Vê ». Tous trois ont été mineurs. Ils parviennent à percer le mur mitoyen. Le plafond de la cave « PUTZEYS » est effondré. Les sauveteurs progressent lentement. Enfin, ils aperçoivent des vêtements. Ils arrivent près de la jeune fille.
En plus des débris de plâtras et de briques qui la recouvrent, elle est bloquée par une grosse solive. Les hommes entreprennent de la scier. JOIRQUIN Dédée s’évanouit à plusieurs reprises. Ils parviennent à la dégager et à la ramener dans la cave « GONTHIER ». Ils la sortent par le soupirail.
Son père, JOIRQUIN Charles, et le tailleur BRASSINE Roger l’emmènent sur une civière à la clinique Joseph Wauters. Le docteur EVRARD constate qu’elle n’est pas gravement touchée. La solive l’a protégée !
Exploitation de phosphate (Bovenistier)
En 1944, il y a une exploitation de phosphate à Bovenistier, en face de la propriété « FARCY ». BIERNA Henri y travaille comme surveillant.