En 1763, ERPIKOM Henri est tailleur à Waremme. Son épouse est FRERARD Anne-Marie.
Archives de catégorie : Tailleur
Le tailleur Hellings-Godechard (Waremme)
En 1954, la maison « HELLINGS-GODECHARD » est installée au n° 72 de la rue Joseph Wauters, à Waremme. Monsieur HELLINGS est le successeur de PURNELLE Léon.
Le tailleur Brassine (Waremme)
En 1954, le tailleur BRASSINE-DOMINE est installé au n° 38 de l’avenue Reine Astrid, à Waremme. Il propose des vêtements pour homme en prêt à porter et sur mesure.
Le tailleur Fernand Coune (Waremme)
En 1954, la boutique « Tailleur Fernand » est exploitée par COUNE Fernand. Elle est installée au n° 60 de la rue Joseph Wauters, à Waremme. Elle propose des vêtements sur mesure et des vêtements prêts à porter:
- gabardines
- vestons sport
- pantalons
- pardessus
- popelines
- …
Le tailleur Sainte (Waremme)
En 1954, le tailleur SAINTE A. est installé au n° 36 de la rue Gustave Renier, à Waremme. Il parle le néerlandais.
Le tailleur Yans, récompensé (Waremme – France)
En 1906, le tailleur de Waremme, YANS Arthur obtient la Médaille en Vermeil (la plus haute récompense), au concours de Paris.
Jean Servais, tailleur (Waremme)
En janvier 1940, le magasin du tailleur, SERVAIS Jean, est installé au carrefour de la rue Charles Lejeune, de l’avenue des Tilleuls (qui deviendra plus tard l’avenue Guillaume Joachim) et de l’avenue Emile Vandervelde.
Le sauvetage de Dédée Joirquin (Waremme)
Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe à l’arrière de la maison de l’électricien PUTZEYS Louis (immeuble dans lequel se trouve également l’atelier de couture PERQUI), rue Gustave Renier à Waremme, JOIRQUIN Charles appelle sa fille, JOIRQUIN Dédée, sur les ruines de la maison. Après un moment, elle lui répond. Sa voix est faible. Il se faufile par le soupirail de la maison voisine, celle de l’architecte GONTHIER, pour accéder à la maison « PUTZEYS » par les caves. Mais la tâche s’avère compliquée, car la cave contiguë est partiellement effondrée et le plafond est incliné à 45°.
DELVELLE Fernand, ainsi qu’un « feldgrau » allemand le rejoignent. Le travail est difficile et épuisant. MOES Céléste, qui a travaillé dans des puits de phosphate, vient leur prêter main-forte. Il comprend qu’il faut étançonner le tunnel au fur et à mesure que l’on avance. Durant les travaux, le jeune fille répond aux appels, mais sa voix est de plus en plus faible. Aucune autre ne voix ne se fait entendre. A l’extérieur, les gendarmes DELVIGNE Louis et PIRLOT Firmin sécurisent les lieux.
D’autres secouristes viennent aider ceux qui sont déjà à l’oeuvre: DEGROOT Félix, DELVAUX Oscar et MAHIELS Joseph, dit « Li Vê ». Tous trois ont été mineurs. Ils parviennent à percer le mur mitoyen. Le plafond de la cave « PUTZEYS » est effondré. Les sauveteurs progressent lentement. Enfin, ils aperçoivent des vêtements. Ils arrivent près de la jeune fille.
En plus des débris de plâtras et de briques qui la recouvrent, elle est bloquée par une grosse solive. Les hommes entreprennent de la scier. JOIRQUIN Dédée s’évanouit à plusieurs reprises. Ils parviennent à la dégager et à la ramener dans la cave « GONTHIER ». Ils la sortent par le soupirail.
Son père, JOIRQUIN Charles, et le tailleur BRASSINE Roger l’emmènent sur une civière à la clinique Joseph Wauters. Le docteur EVRARD constate qu’elle n’est pas gravement touchée. La solive l’a protégée !
Roger Brassine, tailleur (Waremme)
En 1944, BRASSINE Roger est tailleur à Waremme.
Une partie de la rue Joseph Wauters (Waremme)
En août 1944, en remontant la rue Joseph Wauters, depuis l’angle de la rue Zénobe Gramme, se trouvent les immeubles suivants:
- la pharmacie « GIELEN », à l’angle
- la mercerie « LEKEUX »
- la pâtisserie « DELVAUX »
- le tailleur « HELLINGS »
- la maison « PIROTTE »
- le magasin de l’ébéniste « LALLEMAND »
- le café « Aux Sports »
- la Banque de Bruxelles
- la maison « GERMEAU »
- le magasin « VRANKEN »