En 1932, le bénéfice net, retiré par la commune de Waremme de l’exploitation de la centrale électrique (avec la société « Electricité et Mécanique de Bruxelles »), s’élève à 62.000 francs.
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La centrale électrique de Waremme
Vers 1930, la Centrale électrique de Waremme est exploitée pour moitié par la commune et pour moitié par la Société « Electricité et Mécanique de Bruxelles ». Pour cela, cette société verse une location annuelle de 21.000 francs à la commune. Le bénéfice net annuel de Waremme de cette centrale varie de 40.000 à 60.000 francs.
Albert Gérard, candidat (Waremme)
En avril 2018, GERARD Albert est candidat aux prochaines élections communales à Waremme. Il est âgé de 51 ans. Il se présentera à la 3ème place sur la liste du bourgmestre « PS – IC ».
Il est échevin des sports depuis 2012. Il est carreleur indépendant. Il est colombophile.
La S.A. Moteurs Moës (Waremme)
En 1912, la S.A. « Moteurs Moës » est fondée à Waremme. Elle fabrique des moteurs diesel et de petites locomotives de mine équipées de ces moteurs.
Journée Portes Ouvertes à Omal
Le 5 octobre 1997, les TEC « Liège – Verviers » organisent une journée « Portes Ouvertes » à Omal.
Auguste Mercier au Congo (Oreye)
De 1923 à 1926, le vétérinaire d’Oreye, MERCIER Auguste-Xavier-Arnold-Théodore part pour le Congo où il travaillera comme directeur de la « Société des Produits du Congo », installée sur l’île de Mateba, à l’embouchure du fleuve Congo.
Son épouse, PAQUES Bertha, ne l’accompagne pas parce qu’elle attend un enfant et que le climat insalubre de cette région ne lui convient pas.
Léon Happart à la SNCV (Thys)
En 1941, HAPPART Léon, natif de Thys, entre à la SNCV comme chauffeur de tram.
Sud-Zücker à Oreye
En février 1990, le groupe « Sud-Zücker » rachète la Raffinerie Notre-Dame d’Oreye et y développe la production de nouveaux produits issus de l’oligofructose, à partir de racines de chicorées: la Raftiline et la Raftilose. Cela permet de diversifier l’agriculture de la région, vu la surproduction européenne de sucre.
L’usine d’Oreye ajoutera « ORAFTI » à sa dénomination et deviendra le leader mondial de la production et de la commercialisation des ingrédients alimentaires extraits de la racine de chicorée.
La Sucrerie d’Oreye en société
Le 15 juin 1889, les fondateurs de la Sucrerie d’Oreye se réunissent en l’étude du notaire JAMOULLE Alfred, pour préparer la fondation de la S.A. « Sucrerie d’Oreye ». L’administrateur-délégué en sera CARTUYVELS Hyacinthe. La sucrerie pourra transformer en sucre brut 300 tonnes de betteraves par jour.
Gilles Follon, retraité (Oreye)
En 1966, FOLLON Gilles cesse ses activités à Oreye. Il cède son entreprise de machines agricoles à son fils FOLLON Guy.