François Bonne, de retour à Oreye

Le 26 avril 1945, BONNE François rentre à Oreye, après sa libération des camps de concentration en Allemagne. Il était le chauffeur du directeur de la Sucrerie de Tirlemont (avant la guerre ?).

Mariage de Fernand Ory et de Marie-Louise Tilman (Pousset)

Le 12 juin 1975, ORY Fernand et TILMAN Marie-Louise, de Pousset, s’y marient. Ils travaillent tous les deux à la Raffinerie Notre-Dame d’Oreye.

Naissance de Julien Gorreux (Grandville – Oreye)

Le 28 mai 1885, GORREUX Julien voit le jour à Grandville (?). Ses parents sont GORREUX François et VERDIN Marie-Louise. Il épousera MALCHAIR Marie-Joséphine. Il combattra durant la Première Guerre Mondiale. Il fera toute sa carrière à la sucrerie Notre-Dame d’Oreye.

Extracteur d’insuline (Oreye)

En 1952, un diffuseur, nécessaire pour l’extraction de l’insuline présente dans les racines de chicorée, est installé à la Raffinerie Notre-Dame d’Oreye (qui s’appellera plus tard BENEO)..

Remplacement d’un diffuseur (Oreye)

En janvier 2024, l’entreprise « BENEO », d’Oreye, remplace le diffuseur – extracteur continu à tambour horizontal de 6 mètres de diamètre et de 38 mètres de long -, qui permet d’extraire l’insuline des racines de chicorée. Il était installé depuis 72 ans. Le responsable de l’opération est FOUCART Josse. L’entreprise occupe environ 300 personnes.

Josse Foucart, directeur (Oreye)

En janvier 2024, FOUCART Josse est directeur des opérations de remplacement du diffuseur, à l’entreprise « BENEO » d’Oreye.

Louis Naveau, fabricant de sucre (Hollogne-sur-Geer)

En avril 1891, NAVEAU Louis est fabricant de sucre à Hollogne-sur-Geer. Il est membre de l’Association Belge des Chimistes.

Auguste Roberti, fabricant de sucre (Remicourt)

En avril 1891, ROBERTI Auguste est fabricant de sucre à Remicourt. Il est membre de l’Association Belge des Chimistes.

Projet de maison de repos (Fexhe-le-Haut-Clocher)

En mai (?) 2024, EYCKEN Grégory et sa sœur, EYCKEN Alexandra, introduisent une demande de permis de construire une maison de repos d’une centaine de lits, sur le site de l’ancienne sucrerie de Fexhe-le-Haut-Clocher. Ils en exploitent déjà deux (?) autres.