La sucrerie de Remicourt

Vers 1900, la sucrerie de Remicourt traite quotidiennement 400 tonnes de betteraves. Elle occupe 30 ouvriers permanents et 160 saisonniers.

L’eau usée de la sucrerie dans l’Yerne (Remicourt)

En 1890, une conduite souterraine, reliant la sucrerie à l’Yerne, est construite à Remicourt, sous le trottoir de la rue du Village, afin d’évacuer les eaux industrielles.

Projet de sucrerie (Remicourt)

Le 24 juillet 1869, le conseil communal de Remicourt examine le projet de construction d’une sucrerie dans le village.

Les Chemins de Fer Vicinaux (Belgique – Hesbaye)

En 1884 et 1885, des lois belges organisent la « Société Nationale des Chemins de Fer Vicinaux ».

Les différents tronçons, qui seront réalisés en Hesbaye, vont faciliter le transport des betteraves et le développement des sucreries.

La râperie de Viemme

En 1872, la râperie de Viemme est mise en fonction. Elle occupe 6 ouvriers en permanence et 112 en saison des betteraves.

L’usine Mélotte (Remicourt)

En 1876, MELOTTE Guillaume fait construire un nouvel atelier à Remicourt, en face de la sucrerie, et lui donne le nom de « Usine MELOTTE ». Il emploie une dizaine d’ouvriers.

Il y aura une sucrerie à Les Waleffes

Le 8 mars 1858, le conseil communal de Les Waleffes accorde à CARTUYVELS-HANSON Eugène, de Lens-Saint-Remi, l’autorisation d’ouvrir une sucrerie dans le village.

La sucrerie raccordée au vicinal (Oreye – Ans)

En 1905, les bâtiments de la Sucrerie Notre-Dame d’Oreye sont desservis par la ligne vicinale « Oreye – Ans ».

Rapprochement de sucreries (Oreye – Tirlemont)

En 1938, la Raffinerie Tirlemontoise prend une participation dans la Sucrerie Notre-Dame d’Oreye et participe à sa gestion.