Le 28 août 1944, quelques adolescents de Waremme s’amusent dans les prés marécageux qui bordent le Geer et les décanteurs de la râperie:
- COEN Jules
- BRASSINE Louis
- DELVAUX Joseph
- DELVAUX Freddy
- DAWIR Léon
- DENGIS Henri
Le 28 août 1944, quelques adolescents de Waremme s’amusent dans les prés marécageux qui bordent le Geer et les décanteurs de la râperie:
En 1944, LARDINOIS Camille travaille pour le fermier de Waremme, DOUCET Jules, une bonne partie de l’année. Mais pendant la campagne betteravière, il loue ses services à la râperie de Waremme.
Son épouse se prénomme Alice.
En juin 1944, au-delà de la rue Ernest Malvoz, une voie latérale de la gare conduit aux caniveaux de la Râperie de Waremme. Ce raccordement se divise ensuite en 6 voies distinctes, pour permettre le déchargement simultané de plusieurs convois de betteraves.
En juin 1944, la gare de Waremme compte neuf voies parallèles à l’endroit le plus large, et 42 aiguillages entre le passage à niveau de la rue de Sélys-Longchamps et la Râperie.
Elle est située sur la ligne 36 Bruxelles-Liège. Outre le bâtiment réservé aux voyageurs, elle dispose d’un grand hangar où sont entreposés les produits à destination ou en provenance des entreprises de la région. La cour aux marchandises s’étend sur près de 500 mètres. Elle donne accès aux quais de chargement où se trouve une grue fixe.
Le 31 décembre 1960, une vingtaine de grévistes sont mis à la disposition du Parquet de Liège, après une manifestation devant la sucrerie d’Oreye.
En 1875, les Sucreries Centrales de Wanze englobent la Sucrerie Centrale de Waremme et les râperies qui en dépendent.
Le 16 mai 1870, la S.A. « Sucreries Centrales de Wanze » est constituée, devant Maître TROKAY, notaire à Liège.
En 1870, une sucrerie est construite à Remicourt, sur un terrain limité par la rue de Pousset, la future rue Jules Mélotte et la rue de Bovenistier. C’est la première véritable usine dans la vallée de l’Yerne. Elle occupera jusque 160 travailleurs en saison.
Elle est fondée par:
En 1901, la S.A. « Sucrerie d’Oreye » est mise en liquidation. Elle avait été fondée par les frères CARTUYVELS de Waleffe. Son activité sera reprise par la Sucrerie Notre-Dame, dirigée par ROBERTI Auguste. Il a été directeur de la Sucrerie de Remicourt. Il restera administrateur-délégué jusqu’en 1936 (?).
Les administrateurs de la nouvelle société sont:
Durant cette année, la raffinerie va produire 3.300 tonnes de sucre.
Le nom de « Sucrerie Notre-Dame » est donné en souvenir reconnaissant de la guérison « miraculeuse » à Lourdes, en 1898, de son directeur ROBERTI Auguste.
Le 18 mai 1867, le Conseil Communal de Waremme se réunit. Les points à l’ordre du jour sont: