Production de sucres raffinés (Oreye)

En 1981, dans le cadre du plan de spécialisation de la Raffinerie Tirlemontoise, la Raffinerie « Notre-Dame » d’Oreye abandonne la production et le conditionnement des sucres ménagers, pour se consacrer principalement à la fabrication de sucres raffinés pour l’industrie et l’artisanat. Sa capacité est de 5.000 tonnes de betteraves par jour.

Elle doit alors sa renommée, en grande partie, à sa spécialité: le Sucre Perle, qui fait le bonheur des boulangers-pâtissiers, ainsi que des amateurs de gaufres, craquelins, brioches et autres gourmandises.

La centrale de la raffinerie (Oreye)

En 1966, la nouvelle centrale électrique de la Raffinerie « Notre-Dame » d’Oreye est interconnectée au réseau public pour la vente d’importantes quantité d’énergie électrique.

Mort d’Angeline Tillard (Crisnée)

En 1934, TILLARD Angeline décède à Crisnée, à l’âge de 52 ans. Son mari veuf est BENOIT Jules (qui travaille à la râperie ?).

Tarissement des puits (Crisnée)

En 1935, les puits de Crisnée commencent à se tarir, les uns après les autres, sauf celui de la râperie.

Il faut curer les rigoles et fossés (Crisnée)

Le 30 septembre 1920, le conseil communal de Crisnée demande à la râperie de Fexhe que ses ouvriers, préposés à la surveillance de l’écoulement des eaux de lavage des betteraves, continuent leur travail de curage des rigoles et fossés, depuis Kemexhe, jusqu’au-delà du territoire de Crisnée.

Ouverture d’un GB (Crisnée)

En 1978, un GB avec boucherie, exploité par la firme « FESTRAETS », s’installe en bordure de la Grand-Route à Crisnée, près de la râperie.

Arrêt de la râperie (Crisnée)

Le 6 décembre 1968, la râperie de Crisnée cesse ses activités. La production de betteraves du village et des environs sera traitée par la sucrerie d’Oreye.