En 1942, BENOIT Jules décède à Crisnée, à l’âge de 69 ans. Il a été directeur de la râperie du village. Il était veuf de TILLIARD Marie-A..
Mort de Jules Benoit (Crisnée)
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Archives de catégorie : Sucrerie
Naissance de Jules Benoit (Crisnée)
En 1873, BENOIT Jules voit le jour à (?). Il sera directeur de la râperie de Crisnée.
La râperie de Crisnée
Le 10 octobre 1924, la râperie de Crisnée est mise en fonction. Sa construction a été réalisée par l’entrepreneur LAMBOTTE, de Bas-Oha; la menuiserie par ROLET, de Liège; les portes et fenêtres par BOLLAND Henri.
Mort de Jacques Bure (Crisnée)
En 1959, BURE Jacques de Crisnée, décède dans un accident de la circulation près de la râperie. Il était âgé de 61 ans.
Mort de Henri Janssens (Crisnée)
En 1944, JANSSENS Henri, cordonnier à Crisnée, décède dans un accident de la circulation, écrasé par une voiture au carrefour de la Grand-Route et de la Chaussée Verte, à Odeur, près de la râperie. Il était âgé de 82 ans. Il était veuf de LOOMANS Hortense.
Naissance de Joseph Louwet (Pirigen – Crisnée)
En 1873, LOUWET Joseph, dit « Dlèf dè Sart » voit le jour à Pirigen (?). Il épousera WIJNANTS Elisabeth, dite « Babète dè Sart ». Ils s’installeront à Crisnée. Ils auront 18 enfants. Il sera jardinier au château d’Odeur, saisonnier à la râperie de Crisnée (?) et journalier.
Des ardoises pour les Fabriques d’Eglise (Oreye – Fize-le-Marsal)
En juin 1943, la S.A. « Grandes Ardoises de Herbeumont » livre des marchandises à la Fabrique d’Eglise d’Oreye et à la Fabrique d’Eglise de Fize-le-Marsal.
Les factures sont adressées à la Raffinerie Notre-Dame d’Oreye.
Sucreries à l’arrêt (Belgique)
Le samedi 11 novembre 1939, la plupart des sucreries belges arrêtent la réception des betteraves. On craint une invasion allemande imminente. Le 18 novembre, l’alerte passée (!), les sucreries reprennent leurs activités.
Fusion de sucreries (Hollogne-sur-Geer – Remicourt)
En 1913, la sucrerie NAVEAU de Hollogne-sur-Geer fusionne avec la sucrerie de Remicourt.
Personnel de la sucrerie (Hollogne-sur-Geer)
En 1865, la sucrerie de Hollogne-sur-Geer emploie une trentaine d’ouvriers réguliers et 230 ouvriers saisonniers.