Le 21 avril 1928, la commune de Crisnée achète, au charbonnage « Saint-Michel », 3 wagons de cendres à 130 francs/wagon, pour recouvrir les allées du cimetière agrandi. Le charriage sera effectué par les possesseurs de chevaux.
Le 16 octobre 1926, puisque le service d’autobus organisé par Messieus GHYS et DEBIOLLE fonctionne à la satisfaction générale et que la commune est déjà desservie par le tram vicinal Ans-Oreye, le conseil communal de Crisnée émet un avis défavorable à la demande de la SNCV d’établir son propre réseau d’autobus.
Le 27 juillet 1889, le conseil communal de Crisnée autorise le Conseil de Fabrique de la paroisse du village à vendre, aux concessionnaires de la ligne de tramway d’Ans à Oreye, 3 ares 50 d’une terre située à Thys, au prix de 525 francs.
Le 24 janvier 1885, le conseil communal de Crisnée prie la SNCV d’établir une ligne de tram vicinal d’Ans à Waremme, via Alleur, Othée, Crisnée, Oreye et la vallée du Geer, étant entendu qu’un point d’arrêt soit réservé à Crisnée, au lieu-dit « Aux Croix ».
Pendant l’hiver 1944 – 1945, un groupe d’habitants de Crisnée travaille pour les Américains:
Ils chargent des caisses de munition s sur des camions, à destination du front.
En 1950, les rails et les installations électriques du tram sont démontés à Crisnée. Il sera remplacé par des autobus.
En 1930, le tram électrique remplace le tram à vapeur sur la ligne vicinale « Saint-Trond – Liège », qui passa à Crisnée.
Le 2 octobre 1928, le conseil communal de Crisnée autorise la SNCV à établir des supports pour une ligne électrique, sur le territoire de la commune, en vue de la mise en service d’un tram électrique.
Le 27 juin 1935, le service d’autobus « Ans – Oreye », qui a été organisé par Monsieur GHYS-DEBIOLLES, est cédé à la SNCV.
En 1926, en plus du tram à vapeur, un service d’autobus « Ans – Oreye » est organisé par Monsieur GHYS-DEBIOLLES.