Le 18 juillet 1964, GOFFIN André et GERADON Anne-Marie se marient à Oleye. Il travaille (ra ?) à l’usine « MELOTTE » de Remicourt. Il travaillera ensuite à la Protection Civile à Crisnée. Elle est (a été ?) réassortisseuse au magasin « Nopri » de Waremme.
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Extension du zoning industriel (Waremme)
Le 12 avril 2021, la première phase de l’extension du zoning industriel de Waremme est lancée. Un nouvel espace de 36 hectares, dédié aux entreprises, sera aménagé à proximité de l’autoroute, à l’arrière des commerces existants, entre le Garden Abeels et l’Aldi.
Lors de cette opération, deux nouveaux carrefours giratoires seront construits sur la chaussée Romaine pour accéder à cette partie du zoning et sécuriser la chaussée:
- au niveau du Garden Abeels
- au niveau du garage « SCHYNS »
L’extension du zoning devrait permettre de créer 800 nouveaux emplois. Le coût des travaux est évalué à 18 millions d’euros.
Le Hameau du Chemin de Fer (Waremme)
En 1856, il y a plusieurs grosses maisons de commerce et des installations industrielles au Hameau du Chemin de Fer, près de la gare de Waremme:
- une sucrerie
- une brasserie
- un moulin à vapeur
- une savonnerie
Les Etablissements Keppenne (Bergilers)
En (?), les Etablissements KEPPENNE, entreprise de machines agricoles, tracteurs et moissonneuses-batteuses, sont installés rue Louis Maréchal à Bergilers.
Alfred-Dieudonné Ancion, sucrier
En 1873, ANCION-JAMAR Alfred-Dieudonné,laisse son frère continuer seul l’industrie des armes, qu’avaient créée leur père et leur grand-père, pour s’adonner exclusivement à l’agriculture et à la fabrication de sucre.
Portrait d’Alfred-Dieudonné Ancion-Jamar
En août 1886, le journal « Le Patriote Illustré », à tendance catholique, publie le portrait de ANCION-JAMAR Alfred-Dieudonné, récemment élu à la Chambre des Représentants dans l’arrondissement de Waremme.
Il est âgé de 46 ans. Sa figure dépeint bien son caractère, dont le côté dominant est l’énergie et la persévérance. Après avoir conquis, avec la plus grande distinction, le diplôme d’ingénieur des mines et celui des arts et manufactures, il continua avec son frère l’exploitation de la fabrique d’armes que son père et son grand-père avaient fondée. Il devint alors juge au Tribunal de Commerce de Liège, puis fut le président de la collectivité des fabricants d’armes liégeois à l’Exposition de Vienne et enfin fut nommé Chevalier de l’Ordre de Léopold à l’âge de 34 ans. En 1873, il laissa son frère continuer seul l’industrie des armes pour s’adonner exclusivement à l’agriculture et à la fabrication du sucre.
C’est pourtant dans la politique que ANCION-JAMAR a donné des preuves de l’énergie et de la persévérance qui le caractérisent. A son entrée au Conseil Provincial, il prit immédiatement une place importante dans les discussions de cette assemblée et s’y distingua en maintes circonstances. En 1876, il fut l’un des principaux fondateurs de la nouvelle Association Conservatrice deWaremme, et se mit alors à la tête des partisans catholiques de l’arrondissement. Il se présente au scrutin en 1878, 1880 et 1882. En 1878, les Libéraux annulent 9 bulletins portant son nom et parviennent à l’écarter. En 1880, ils raient d’un coup le vote de 32 curés et ANCION-JAMAR échoue à 16 voix seulement.
Rachat de l’usine Mélotte (Remicourt – Etats-Unis)
En 2004, le géant américain « BOUMATIC » rachète les usines MELOTTE de Remicourt et fait de celles-ci son centre de distribution pour l’Europe.
Fusion de l’usine Mélotte (Remicourt – Angleterre)
Dans les année 70 (?), les usines MELOTTE, de Remicourt, fusionnent avec le groupe anglais GASCOIGNE.
L’usine Mélotte (Remicourt)
En 1910, l’usine MELOTTE, de Remicourt, est l’une des plus modernes d’Europe, avec une production de 26.000 écrémeuses vendues dans le monde entier. (L’entreprise emploiera jusque 1.200 ouvriers).
L’usine Mélotte (Remicourt)
En 2012, l’usine MELOTTE de Remicourt fête les 160 ans d’une ouverture industrielle toujours vivante.