Désiré Quoitin, instituteur (Waremme)

En 1874, QUOITIN Désiré est nommé instituteur à l’Ecole Communale de Waremme. Il occupera cette fonction jusqu’en 1912.

L’emplacement de la nouvelle école communale (Waremme)

En 1870, lors des débats au conseil communal de Waremme pour l’installation des nouveaux locaux de l’école communale hors du centre-ville en direction de la gare (à l’endroit qui deviendra plus tard place de la Gendarmerie, puis place du Roi Albert 1er) le conseiller Baron DE LAFONTAINE s’oppose au projet en déclarant qu’implanter l’école dans un endroit aussi excentrique risque de nuire au commerce local. Son opinion n’est pas suivie par ses collègues et il démissionne.

La nouvelle école et la nouvelle Justice de Paix sont donc construites dans les prairies qui bordent la partie de la rue de Huy (qui deviendra plus tard la rue Joseph Wauters) qui mène à la rue de Saive (qui deviendra plus tard la rue de Huy) et à la rue de la Station (qui deviendra plus tard l’avenue Reine Astrid)

Construction des écoles communales et de la Justice de Paix (Waremme)

Le 23 mai 1867, le Bourgmestre de Waremme, LEJEUNE Jules, pose la première pierre de la construction des écoles communales et de la Justice de Paix, au bas de la rue de la Station, sur la place du Roi Albert 1er.

Les écoles communales de Waremme et la Justice de Paix vont déménager

Le 22 mai 1866, la prairie Boux, d’une superficie de 83 ares 20 centiares, située au pied de la rue de la Station (qui deviendra plus tard l’avenue Reine Astrid), est achetée par la commune de Waremme pour une somme de 22.000 francs.

Le conseil communal désire y installer les Ecoles communales et la Justice de Paix.

L’acte d’achat est passé devant le notaire LEJEUNE Jules.

Des écoles sont installées dans l’ancien Couvent des Sépulchrines (Waremme)

En 1860, les bâtiments de l’ancien Couvent des Sépulchrines sont partiellement occupés par d’autres religieuses, les Dames de la Sainte-Union de Douai, qui poursuivent l’œuvre des Filles du Saint-Sépulchre (Les religieuses ont été empêchées d’enseigner, sous le régime français, lors de la Révolution). Une autre partie des bâtiments est occupée par l’école communale et par la gendarmerie.

F. Ramet, institutrice (Waremme)

En juillet 1858, Madame RAMET F. est engagée comme institutrice communale pour filles à Waremme.

Les latrines des écoles (Waremme)

Le 21 octobre 1852, le conseil communal de Waremme doit se prononcer sur le choix de latrines à établir pour l’usage des enfants fréquentant l’Ecole Moyenne et l’Ecole Communale. Ce choix se porte sur des tonneaux mobiles, entourés de petites guérites, qu’on ferme hermétiquement lorsqu’il s’agit de les enlever.

Il faudrait ouvrir une école moyenne (Waremme)

En 1850, dans son rapport au conseil provincial de Liège, le commissaire de l’arrondissement de Waremme, HALLET A., insiste sur la nécessité de créer dans cette localité une école moyenne. Plus de 300 élèves, dont environ 50 étrangers à la commune, fréquentent l’école communale de Waremme. L’arrondissement est entièrement dépourvu d’établissement d’instruction moyenne. Une bonne école professionnelle y réunirait aussi toutes les conditions de succès. Les intérêts de la Hesbaie militent également très puissamment en faveur de l’institution de cours agricoles à Waremme. L’enseignement pratique se ferait dans une des grandes fermes de la localité.

Denis Bertrand, instituteur (Waremme)

Le 14 mai 1850, le waremmien BERTRAND Denis est nommé aspirant instituteur, par arrêté ministériel, dans la première école communale de Waremme. Son diplôme porte la mention « Avec grand fruit ».

La Plan « Levarlet » (Waremme)

En 1828, le géomètre LEVARLET J. H. dresse le plan cadastral de la ville de Waremme et de ses hameaux.

Sur ce plan, on constate que le couvent des Récollets s’étend jusqu’au Geer. Il possède un cloître et une chapelle assez vaste, si on la compare à l’Eglise paroissiale Saint-Pierre. L’ancien couvent des Sépulchrines, quant à lui, est occupé par la gendarmerie et l’école communale.