Le 27 septembre 1969, la ville de Waremme organise la 19ème édition du « Souper des Pensionnés », à l’Ecole Moyenne de l’Etat pour jeunes filles, rue Charles Lejeune (entrée par la Place de l’Ecole Moyenne).
Le 25 mars 1883, BERTRAND Denis, de Waremme, y décède à l’âge de 54 ans. Il était échevin de Waremme et membre du bureau administratif de l’école moyenne de l’Etat de la ville. Il était rentier propriétaire. Il sera inhumé dans le caveau familial au cimetière de Waremme.
En septembre 2019, une œuvre d’art, réalisée en matériaux récupérés (bois, métal, …) est installée sur la façade du Centre Culturel de Waremme (anciens locaux de l’école moyenne).
Elle a été réalisée par « KALBUT DSGN ». Elle a été financée par un subside remporté par le Centre Culturel de Waremme, dans le cadre de l’appel à projet « Ecodesign » de la Région Wallonne.
En 1908, l’Ecole Moyenne de l’Etat de Waremme est installée place de l’Ecole Moyenne (?), dans la rue de Huy (qui deviendra plus tard la rue Joseph Wauters), dans les anciens locaux de l’Ecole Communale.
En 1870, l’Ecole Moyenne de l’Etat de Waremme s’installe dans les locaux libéré par l’Ecole Communale au centre-ville de Waremme.
En décembre 1946, STASSART Joseph est élève en Rhétorique à l’Ecole Moyenne de l’Etat de Waremme (qui prendra plus tard le nom d’Athénée Royal). Il est porteur du nouveau drapeau remis par l’administration communale.
En 1948 (?), FRAIKIN Eugène est nommé préfet à l’Ecole Moyenne de l’Etat de Waremme, qui peut officiellement prendre le nom d’Athénée Royal car son directeur (préfet) est licencié en Sciences Economiques.
En 1938, LEGRAND Arthur est directeur de la « Section d’Athénée » de l’Ecole Moyenne de Waremme.
Vers 1853 (?), l’école et le pensionnat pour jeunes filles des sœurs PERGAY Valériane et Sophronie quitte les locaux de l’école communale pour permettre à l’Ecole Moyenne de l’Etat de se développer. Elles louent alors une maison rue de la Station (qui deviendra plus tard avenue Reine Astrid), pour s’y installer. En compensation, le Conseil Communal de Waremme leur accorde un subside de 700 francs; l’une des sœurs est nommée institutrice communale et est rétribuée comme telle.
Le 1er avril 1852, le Conseil Communal de Waremme prend des décisions sur le cimetière et l’école moyenne.