Vers 1530 (?), FABRY Godefroid, natif de Hodeige, est inscrit au collège des Hiéronymites à Liège et fait de tels progrès dans ses études qu’il surpasse de loin ses condisciples. Il achèvera avec grand soin et succès l’étude des lettres grecques et latines, puis sera envoyé à l’Université de Louvain.
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Godefroid Fabry commence à étudier (Hodeige – Liège)
Vers 1526 (?), à l’âge de 6 ans, FABRY Godefroid, natif de Hodeige, commence à étudier les premiers éléments des « Belles Lettres ». Il sera adopté par son grand-oncle, du même nom, chanoine à la collégiale Saint-Paul à Liège.
Les revenus des Communs Pauvres (Hodeige)
Vers 1730 (?), les revenus des « Communs Pauvres » s’élèvent à 91 muids, à Hodeige. Ces revenus sont de deux types:
- Les revenus des Communs Pauvres proprement dits. Ils s’élèvent annuellement à 49 muids et 6 setiers, qui se distribuent aux seuls pauvres. On fait la distribution de ces revenus soit en grains, soit en argent, soit en secours en nature. Les secours en argent varient entre 3 patars et 10 florins. On donne aux malades de la viande, du vin, du pain blanc. On distribue des vêtements et de la houille. L’entretien des aliénés incombe à la caisse des Communs Pauvres, ainsi que la fourniture des drogues aux malades et des cercueils pour les défunts.
- Les autres revenus, qui s’élèvent à 42 muids, s’appellent les « Revenus des Miches ». Ils sont distribués indistinctement (peut-être par abus !) à tous les habitants. Cette distribution de miches se fait pendant le Carême. Le curé lui-même y participe (pour cela, il reçoit 3 muids), mais par contre, il doit chanter, chaque vendredi de Carême, une grand-messe de requiem pour les défunts pauvres; Sur les revenus des Miches, on paie 4 setiers au marguillier pour les anniversaires de Carême, 6 setiers à l’église et 4 aux sonneurs. Le registre des Miches contribue également au paiement du prêtre qui doit dire la première messe les dimanches et les jours de fête (de 6 à 10 muids). Annuellement, l’instituteur reçoit 8 muids pour son salaire, ainsi que pour le chauffage des enfants en hiver, et le loyer de la maison servant d’école et de grenier. Le registre des Miches rétribue également l’habitant du village, dit « gardien » ou « herbier », qui conduit tous les porcs (élevés par chaque habitant du village) à la pâture sur les bois communaux. Pour cela, il reçoit 2 muids par an. Enfin, le mambour chargé de distribuer les secours et de faire les comptes (ordinairement le curé ou le prêtre prémissaire) reçoit comme salaire 8 muids chaque année.
Naissance de Françoise Missotten (Gossoncourt – Waremme)
Le 10 août 1907, MISSOTTEN Françoise voit le jour à Gossoncourt. Elle fréquentera le pensionnat des Filles de la Croix, à Waremme.
Jean-Louis Delvaux, séminariste (Cortessem – Louvain)
En 1830, DELVAUX Jean-Louis, natif de Cortessem, entre au Grand Séminaire, après avoir étudié quelque temps à Louvain.
Mélanie Malchair (Remicourt – Waremme)
En 1962, MALCHAIR Mélanie habite à Remicourt. Deux de ses enfants fréquentent l’Athénée Royal de Waremme.
Travail obligatoire pour les étudiants (Belgique)
Le 17 mars 1943, sur décision allemande, les étudiants et les étudiantes sont tenus d’effectuer un travail obligatoire de 6 mois, en Belgique.
Une prime pour abonnement (Remicourt)
Le 17 janvier 1939, l’Oeuvre Scolaire de Remicourt accorde, aux anciens élèves de l’école communale qui poursuivent leurs études, une prime de 50 francs pour couvrir les frais d’abonnement à la SNCB.
Des souliers pour les élèves (Remicourt)
Le 18 octobre 1938, l’Oeuvre Scolaire de Remicourt offre une paire de chaussures aux élèves des écoles de la commune.
Oeuvre scolaire (Remicourt)
Le 8 février 1934, le Conseil Communal de Remicourt vote, à l’unanimité des membres présents, l’octroi d’un crédit destiné à la création d’une Oeuvre Scolaire. (Fin de l’année, ce crédit sera fixé à 7.000 francs).
L’objet principal de cette Oeuvre Scolaire est de promouvoir l’enseignement communal, en accordant des faveurs aux élèves. Ainsi, au cours du temps, seront distribués:
- des souliers
- des mallettes
- du linge
- …
L’Oeuvre offrira également des friandises et des livres à la Saint-Nicolas. Elle dotera d’ouvrages littéraires les remises des prix clôturant les années scolaires.