Le 11 février 1999, DELEAU Amélie décède à (?). Elle était la mère de l’homme politique wallon assassiné, COOLS André.
Archives de catégorie : Assassinat et meurtre
Assassinat de Julien Lahaut (Liège – Belgique)
Le 18 août 1950, le député communiste liégeois, LAHAUT Julien, auquel on attribue le « Vive la République », crié lors de la prestation de serment du Roi BAUDOUIN Ier, est assassiné par deux tueurs, devant sa maison.
Mort de Dieudonné Haccourt (Waremme – Russie)
Le 21 janvier 1948, HACCOURT Dieudonné décède à (?), à l’âge de 74 ans. Il a épousé TINLOT Marie-Thérèse-Jeanne, puis GALMACE Joséphine (sans avoir divorcé de sa première épouse). Ce second mariage sera annulé pour bigamie. Il a eu une relation extraconjugale avec GAILLARD Marguerite, qu’il a assassiné pour jalousie. Il a été condamné et incarcéré en France. Il a combattu en Russie durant la Première Guerre Mondiale. Il sera inhumé au cimetière de Waremme.
Naissance de Dieudonné Haccourt (Waremme)
Le 4 février 1874, HACCOURT Dieudonné voit le jour à Waremme. Ses parents sont HACCOURT François-Joseph et BAUMONT Marie-Thérèse. Il épousera TINLOT Marie-Thérèse-Jeanne et GALMACE Joséphine. Il aura une relation extraconjugale avec GAILLARD Marguerite, qu’il assassinera pour jalousie. Il servira dans les « Autos-Canons » en Russie, durant la Première Guerre Mondiale (matricule: 534). Il sera journalier, ouvrier aux Chemins de Fer, ouvrier d’usine, manoeuvre.
Daniel François et Alain Michelet, coupables (Waremme – Liège)
Le 26 mars 2015, la Cour d’Appel de Liège (1) confirme la peine que le Tribunal Correctionnel a prononcée à l’encontre de l’ancien chef de la zone de police de Waremme, FRANCOIS Daniel, et de son adjoint, MICHELET Alain, pour harcèlement et traitement inhumain et dégradant, mais (2) en sus, déclare que ces attitudes coupables sont à l’origine de la mort de KOCH Sandra et de sa fille, et des graves blessures de son fils.
RAPPEL DES FAITS
Le 11 novembre 2011, la policière de Waremme KOCH Sandra, récemment mutée à Crisnée, se rend dans les bois de Stoumont en voiture, avec ses enfants Emilie (17 mois) et Bastien (4 ans). Elle prépare un petit « bûcher », s’asperge, ainsi que ses enfants, d’alcool et y met le feu. Ils sont gravement brûlés, mais ne décèdent pas. Elle s’empare alors d’un couteau, tue sa fille et inflige de profondes blessures à son fils (qui conservera toute sa vie d’importantes séquelles). Elle appelle alors les secours. Elle explique avoir été la victime de harcèlement de la part de ses supérieurs hiérarchiques. On la retrouvera pendue dans sa cellule le 6 décembre 2012.
Comme en première instance, FRANCOIS Daniel est condamné à 12 mois de prison avec sursis, et MICHELET Alain à 10 mois également avec sursis, pour harcèlement au travail et traitement inhumain et dégradant.
Mais de plus, la Cour déclare que c’est ce harcèlement moral, ce traitement inhumain et dégradant, qui ont involontairement poussé KOCH Sandra à blesser gravement son fils, à tuer sa fille et à se suicider. Pour les juges d’Appel, c’est bien le comportement malveillant des deux commissaires qui est à l’origine du drame. Les juges précisent que les deux policiers ont créé un climat hostile qui a plongé leur subalterne dans un état psychologique fragile. Les magistrats considèrent que ces deux supérieurs hiérarchiques auraient du prévoir que cet état psychologique pouvait entraîner des conséquences tragiques.
Si la peine de prison avec sursis est maintenue, l’élargissement de la responsabilité des deux hommes amène la Cour à les condamner, en sus, à payer des dommages et intérêts provisionnels de 75.000 euros à la famille. Cette somme servira, notamment, à payer les frais très lourds du traitement du fils de KOCH Sandra.
Une telle condamnation devrait avoir d’importantes conséquences sur la carrière de FRANCOIS Daniel et MICHELET Alain à la police.
Les avocats des deux condamnés annoncent leur intention de se pourvoir en Cassation de l’arrêt de la Cour d’Appel. Pour rappel, la Cour de Cassation ne se prononcera pas sur le fond de l’affaire, en l’occurrence la culpabilité des deux hommes, mais sur la forme de l’arrêt de la Cour d’Appel et le respect des règles de procédure et de droit.
Mort de Guillaume d’Athin (Waremme – Liège – Namur)
Le 3 janvier 1438, D’ATHIN Guillaume est assassiné à Namur. Son frère a été un moment châtelain de Waremme.
Naissance de Marie-Hélène Joiret (Seraing)
Le 22 septembre 1958, JOIRET Marie-Hélène voit le jour à Seraing. Elle sera la compagne de l’homme politique socialiste COOLS André, qui sera assassiné. Elle sera gravement blessée dans l’attentat.
Assassinat d’André Cools (Flémalle – Liège – Belgique)
Le 18 juillet 1991, à 7h25 du matin, l’homme politique socialiste, COOLS André dit, « Le Maître de Flémalle », est assassiné de deux balles de 7.65 par deux individus, devant le domicile de sa compagne, JOIRET Marie-Hélène, sur le parking du n° 215 de l’avenue de l’Observatoire à Liège, sur la colline de Cointe. Celles-ci est également gravement blessée dans l’attentat.
La juge d’instruction ANCIA Véronique arrive rapidement sur les lieux.
L’enquête dévoilera une collusion politico-financière dans l’achat, en 1988, d’hélicoptères pour la Défense Nationale. L' »Affaire Agusta-Dassault » révèlera l’existence de pratiques illégales dans le financement des partis politiques, et notamment du PS.
Plusieurs hommes politiques de premier plan seront éclaboussés, dont le Waremmien COEME Guy.
Naissance d’André Cools (Flémalle)
Le 1er août 1927, COOLS André voit le jour à Flémalle Grande, dans la banlieue industrielle de Liège. Son père est COOLS Marcel, sa mère DELEAU Amélie et son grand-père COOLS Pierre.
Il sera un homme politique socialiste influent, co-président du Parti Socialiste Belge (PSB), premier président du Parti Socialiste (PS), ministre de la Région Wallonne, président du Parlement Wallon, ….
Il sera assassiné.
Meurtre à Waremme
Début avril 1755, un médecin de Waremme atteint de frénésie ne pouvait souffrir nul en sa présence, sinon un jeune Père Récollet de Verviers, le fils GURNADE (GRENADE ?) Jean, pour lors au couvent de Waremme pour y enseigner le latin et la philosophie aux novices. Une nuit son mal redoublant, il poignarda le Père Récollet et lui froissa la tête avec la culasse de son pistolet.