Le 28 février 1996, le réquisitoire du procureur général VELU, devant la Cour de Cassation, dans le cadre de l’affaire « INUSOP » est moralement impitoyable pour COEME Guy.
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La Cour de Cassation compétente dans l’Affaire « INUSOP » (Waremme – Belgique)
Le 12 février 1996, la Cour de Cassation se déclare compétente pour poursuivre l’examen de l’affaire « INUSOP ».
Ouverture du Procès « INUSOP » (Waremme – Belgique)
Le 5 février 1996, le procès dit « INUSOP » s’ouvre devant la Cour de Cassation. La Constitution prévoit, en effet, que des infractions commises par un ministre dans l’exercice de ses fonctions, doivent être jugées par la plus haute juridiction du pays. COEME Guy était dans ce cas. Les autres inculpés sont « aspirés » par cette procédure.
Manifestation de soutien à Guy Coëme au Métropole (Waremme)
Le 4 février 1996, COEME Guy réunit entre mille et deux mille personnes, amis et sympathisants, lors d’un goûter dans « sa ville » de Waremme, à la salle du Métropole, la veille de sa comparution devant la Cour de Cassation, dans l’Affaire « INUSOP ». C’est SADZOT Anne, sa secrétaire parlementaire depuis des années, qui a imaginé cette opération de solidarité
La firme « Agusta » perquisitionnée à Zaventem
Le 13 janvier 1993, lors d’une perquisition au siège de la firme italienne « Agusta » à Zaventem, un document interne est saisi qui évoque des commissions à payer au Parti Socialiste (PS). Le nom de MATHOT Guy est cité comme intermédiaire politique des avionneurs italiens.
Le dossier « des Mutuelles » devant la justice (Waremme – Bruxelles)
Le 21 novembre 1990, le Tribunal Correctionnel de Bruxelles entame l’examen du dossier « des Mutuelles ». Le Docteur WYNEN accuse plusieurs hauts dirigeants mutualistes, dont LEBURTON Edmond, de s’être rendus coupables de faux en écritures et de détournements de fonds.
Arrestation du Notaire Guy Fenaux (Waremme)
Le 22 décembre 1989, le notaire de Waremme, FENAUX Guy, est arrêté à Liège et inculpé pour un détournement de plus de 70 millions de francs belges.
La Société « Dassault » va remettre 30 millions à Merry Hermanus (France – Belgique)
Un rapport « modifié » dans l’Affaire « Dassault » (Belgique – France)
Le 19 avril 1989, le chef d’état-major de la Force aérienne, le général MORIAU, reçoit un coup de téléphone de MAZY Jean-Louis, chef de cabinet adjoint du ministre de la défense COEME Guy, qui lui demande de retirer de son rapport les termes « avantage substanciel » de la société américaine Litton, dans le cadre du contrat de modernisation des chasseurs de la Force Aérienne.
Parallèlement, le général JACOBS, chef du service général des achats de l’armée, recevra un avis identique du colonel BASTIEN, chef de cabinet du ministre de la défense, Guy COEME.

