Détournements dans la caisse du comité scolaire (Verlaine)

En septembre 2024, l’ASBL « Comité Scolaire de Verlaine » constate que 30,000 euros auraient été détournés dans sa caisse (frais de restaurants, achat d’équipement multimédia, achat de vêtements de sport, retraits d’argent en liquide, … injustifiés). Il y a 6 ans, on avait déjà constaté qu’une somme équivalante avait déjà été détournée par une employée communale, sur une certaine période.

Information pénale (Verlaine – Liège)

En septembre 2024, suite à la découverte d’un détournement d’environ 33.000 euros dans les comptes de l’ASBL « comité scolaire de l’école communale de Verlaine », le Parquet de Liège décide d’ouvrir une information pénale. L’auteur de ce détournement serait un employé de l’école.

Nomination d’une nouvelle directrice (Verlaine)

En avril 2025, VANDERGEETEN Audrey est nommée directrice ad-interim du comité scolaire de Verlaine. L’ancienne directrice, GOFFA Fanny, a dû démissionner suite à la découverte d’un détournement de fonds dans les caisses de l’institution et avait provisoirement été remplacée par ALGOET Loïc, instituteur en 6ème primaire. Mais celui-ci était désireux de retrouver sa classe.

Démission à Verlaine

En octobre (?) 2024, la nouvelle directrice du comité scolaire de Verlaine, GOFFA Fanny, démissionne suite à la découverte d’un détournement de fonds dans les caisses de l’institution. Jusqu’à sa nomination, elle était trésorière et institutrice à l’école. Elle devra rembourser les sommes détournées et une plainte sera déposée contre elle. Elle sera remplacée temporairement par ALGOET Loïc, instituteur en 6ème primaire.

Bernie Madoff, escroc (Etats-Unis)

En 2009, MADOFF Bernie avoue avoir mis en place, depuis plusieurs années, la plus grande fraude pyramidale de l’Histoire. Il a récolté environ 65 milliards de dollars, avec un fonds d’investissement, en promettant un rendement élevé. Il utilisait les fonds de ses nouveaux clients pour rétribuer ou rembourser des investisseurs plus anciens. Parmi ses victimes figurent de nombreuses personnalités, telles le réalisateur SPIELBERG Steven et l’acteur BACON Kevin.

Résolution du conflit entre le Seigneur et l’avoué (Hodeige – Liège)

Le 20 septembre 1248, le Prince-Evêque de Liège, DE GUELDRE Henri, publie la sentence par laquelle des arbitres fixent les droits de l’avoué de Hodeige, DE HODEIGE Navekin.

Les arbitres sont:

  • DE SOLIER Lambert, maréchal du Prince-Evêque
  • DE MARNEFFE Aubert
  • DE CENFONTAINES Boniface, chevalier

L’avoué DE HODEIGE Navekin doit percevoir 12 deniers pour chaque location de terre, ainsi que pour le placement de chaque borne séparatrices des terres. Pour chaque connaissance faite à la Cour de Justice de Hodeige, il aura 2 deniers. Lorsqu’un arbre tombera sur le chemin par l’effet de la vieillesse ou d’une tempête, il sera la propriété de l’avoué.

Par contre, il ne pourra plus rien exiger ni rien prendre, sur les biens du Chapitre de Saint-Denis, ni sur ceux des manants de la ville de Hodeige.

L’avoué doit jurer sur l’honneur de tenir l’engagement pris.

L’avouerie de Hodeige

La fonction d’avoué n’est pas gratuite. Comme indemnité de ses frais, il perçoit ordinairement une part des amendes infligées par les Plaids Généraux et certaines redevances des habitants.

Mais plusieurs avoués ne se contentent pas de leur rétribution légitime. Ils extorquent des aides ou subsides aux habitants:

  • soit chaque année,
  • soit à l’occasion du mariage de leurs enfants,
  • soit à l’époque où leurs fils sont adoubés chevalier

De plus, ils leur imposent des corvées. Souvent, ils s’emparent des revenus des biens des ecclésiastiques et parfois des biens eux-mêmes.

L’avouerie, avec ses dotations, deviendra un fief héréditaire qui passera de père en fils (et parfois même en fille); comme les autres fiefs, elle pourra faire l’objet de contrats.

Le Chapitre de Saint-Denis possédant la Seigneurie de Hodeige, elle y a constitué une avouerie. Elle aura plus d’une fois à se plaindre des procédés et des usurpations de l’avoué.

Scandale à Liège

En 1386, DE HORION Guillaume I est mêlé au scandale des échevins prévaricateurs de la Cité de Liège.

Une « bombe » avant les élections (Waremme – Belgique – Congo)

En octobre 1982, quelques jours avant les élections communales, une petite « bombe » politique est lancée dans le camp de l’opposition. D’anciens ministres auraient perçus des pots-de-vin en remerciement d’une attitude « compréhensive » face aux difficultés de remboursement des dettes du Zaïre.

Quelques personnalités concernées sont:

  • LEBURTON Edmond, président du parti socialiste
  • SIMONET Henri, ancien ministres des affaires étrangères
  • VANDEN BOEYNANTS Paul, leader social-chrétien bruxellois et ancien ministre de la défense
  • DE CROO Herman, actuel ministre des communications

Ces accusations trouvent leur origine dans un rapport qui reproduit notamment les termes d’une conversation entre l’auteur , BLUMENTHAL Erwin, et l’ancien Premier ministre zaïrois, CARL I BOND N’Gusa.

Le président zaïrois MOBUTU s’est procuré le document, par ailleurs très critique à son égard, et en a envoyé copie à MARTENS Wilfried, dès le mois d’août 1982.

Le Premier ministre aura attendu les élections pour divulguer l’affaire.

Le « rapport Blumenthal » (Congo – Afrique du sud – Suisse)

Le 20 avril 1982, BLUMENTHAL Erwin, qui avait été envoyé au Zaïre par le FMI et la Banque Mondiale pour redresser les finances du pays, et qui avait dû fuir le pays l’année suivante en raison des menaces dont il faisait l’objet, rédige un rapport accablant.

Cette étude confidentielle, est rédigée après un long entretien, daté du 18 mars 1982, avec l’ancien Premier ministre zaïrois, CARL I BOND N’Gusa, en exil. Elle dénonce le système de corruption généralisée en vigueur au Zaïre, sous ses aspects les plus sordides et malfaisants, l’absence de contrôle des fraudes et la difficulté, voir l’impossibilité, qu’auront les nombreux créanciers internationaux du Zaïre de récupérer leurs fonds.

BLUMENTHAL Erwin cite un rapport parlementaire qui dresse la liste des prélèvements effectués par le président MOBUTU et sa famille sur la banque du Zaïre: plus de 3,6 milliards de francs belges, de 1977 à 1979. Il ne s’agit que de la partie visible des prélèvements. Pendant cette période, MOBUTU a fait expédier clandestinement en Afrique du Sud des avions-cargos chargés de fûts de cobalt, et commercialisés par PHILBRO. L’argent ainsi perçu a été directement versé sur un compte numéroté de MOBUTU en Suisse. Des trains entiers de lingots de cuivre et de zinc ont été expédiés, hors comptabilité de la GECAMINES. Chacune des ces expéditions pouvait représenter jusqu’à un demi-milliards de franc belges. MOBUTU s’est aussi livré à des ventes clandestines de diamants et prélève aussi une part sur les ventes officielles des joyaux.

Après avoir dressé la liste des biens immobiliers de MOBUTU en Europe et mentionné les sommes considérables administrées en Suisse avec l’appui de l’ancien président de la Confédération, CELIO Nelio, BLUMENTHAL évalue la fortune du dictateur zaïrois à 4 milliards de dollars.

BLUMENTHAL ajoute que MOBUTU compte de nombreuses complicités dans les classes politiques occidentales, justifiant bien des indulgences à son égard