Corswarem est pillée par les Français

Le 30 juillet 1693, après la bataille de Neerwinden, l’armée française prend la direction de Waremme, à cause du danger d’infections né de la décomposition des corps et du manque de vivres.

Les soldats demeurent à Corswarem jusqu’au 13 août, pillant fourrages et grains à plus de deux lieues à la ronde. Les maisons et même les églises sont pillées. La plupart des habitants fuient en emportant leurs biens les plus précieux.

Le camp des Français est installé au point culminant situé entre Corswarem et Berloz.

Certains Waremmiens n’ont pas rempli leur rôle !

En novembre 1691, plusieurs bourgeois se plaignent auprès du Conseil communal de Waremme de ceux qui étaient chargés de monter la garde aux portes de la ville, mais qui n’avaient pas rempli ce rôle, permettant aux troupes françaises de pénétrer facilement dans la ville et d’y bouter le feu.

En 1691, les Français incendient Waremme

Le 21 septembre 1691, les troupes françaises de LOUIS XIV, arrivent à Waremme et y pénètrent par surprise. Les portes de la ville étaient ouvertes et non gardées.

Ces soldats sont mieux vêtus qu’auparavant, car LOUVOIS a imposé le port de l’uniforme de coupe et de couleur réglementaires, variable suivant les corps. Mais les Waremmiens ne resteront pas longtemps admiratifs. Déçus dans leur espoir de butin et furieux de rencontrer une ville aussi pauvre et misérable, ces soldats boutent le feu à la cité, réduisant en cendres les 2/3 des maisons et autres bâtiments. Tous les registres de la Cour de Justice sont la proie des flammes.

Plus tard, les Waremmiens demanderont des comptes à leurs édiles pour cette négligence  aux lourdes conséquences.

Un gigantesque incendie ravage Londres (Grande-Bretagne)

Le 2 septembre 1666, un gigantesque incendie se déclare à Londres. En 3 jours, 132.000 maisons et 87 églises seront détruites.

Les incendiaires doivent être brûlés ! (Liège)

En 1554, l’incendie reste un fléau contre lequel il faut lutter. Un mandement du Prince-Evêque de Liège précise : « Les sommeurs et ceux qui menacent de brûler, au cas qu’on ne porte point en certain lieu ce qu’ils demandent, doivent être brûlés vifs, encore qu’ils n’effectuent point leurs menaces. »

Erard de la Marck reconstruit le Palais épiscopal de Liège

erard de la marck prince-évêque

erard de la marck prince-évêque

En 1526, le Prince-Evêque DE LA MARCK Erard fait reconstruire le Palais épiscopal de Liège, détruit par un incendie en 1505.

Charles le Téméraire s’empare de Waremme et l’incendie

charles le téméraire

charles le téméraire

En avril (?) 1466, après le sac de Dinant, CHARLES LE TEMERAIRE veut contraindre les habitants de Waremme à s’engager dans son armée. Comme ils refusent de sortir de leurs murailles, il fait mettre le feu à la ville et l’investit. Il en abolit les privilèges.

Waremme est incendiée et ses portes sont arrachées

En 1347, Waremme est dévastée et incendiée par le duc DE BRABANT Jean, allié de l’Evêque DE LAMARCK Englebert, après avoir défait les troupes liégeoises à la bataille de Les Waleffes. L’église semble être sauvegardée. Les portes de la ville sont arrachées et transportées à Landen.

Les Hutois doivent reconstruire le château de Waremme

Le 10 août 1255, les Rebelles Hutois au Prince Evêque de Liège, DE GUELDRE Henri, sont écrasés entre Antheit et Vinalmont par les troupes fidèles au Prince, commandée par le Comte DE JULIERS. Comme condition de paix, le parti des vaincus est contraint de reconstruire les différents châteaux qu’ils ont détruit, dont celui de Waremme et de payer les frais de cette guerre.

Le château de Waremme est incendié par les Hutois

En l’an 1255, lors de la guerre entre les partisans du Prince-Evêque DE GUELDRE Henri et ceux de DE DINANT Henri, la garnison de Waremme fait prisonnier un Hutois. Pour le libérer, ses compagnons mettent Waremme à sac, commettent les plus affreuses violences dans la ville et réduisent en cendres le château.