En 1603, la Hesbaye souffre d’une stérilité presque générale de « tous les fruits estivaux », en raison d’une invasion de mouchettes et d’autres vermines. A Thys, les récoltes ne sont même pas recueillies.
En novembre 1874, Madame MOUREAUX, veuve LAMBERT, se plaint au Conseil Communal de Waremme, de l’écoulement considérable des eaux provenant de la Sucrerie Centrale de Waremme et de leur odeur fétide. Ces eaux se déversent dans le canal, en face de sa maison.
En 2006, des riverains de la rue Charles Lejeune à Waremme adressent une pétition aux autorités communales pour se plaindre du bruit occasionné par les cours de percussion, par l’Ensemble Instrumental et l’Atelier Rock qui répètent dans les locaux de l’Académie de Musique de Waremme, ancienne Ecole Moyenne.
Le 1er juillet 2005, un arrêté de police instaure un couvre-feu dans le quartier de la Gare de Waremme. Tout rassemblement de plus de deux personnes âgées de 14 à 25 ans est interdit dans la gare et aux abords de celle-ci, entre 18 heures et 8 heures du matin. Cet arrêté est pris parce qu’une bande de jeunes perturbateurs se rassemble aux abords de la Gare jusqu’à des heures fort tardives. Ce couvre-feu devrait être maintenu jusqu’au 31 décembre 2005.
En décembre 2000, le bourgmestre de Waremme, CHABOT Jacques, prend un arrêté interdisant la vente de tout engin, produit ou artifice explosant, pendant la période du 11 décembre 2000 au 10 janvier 2001. Les motifs invoqués sont les troubles de voisinage causés par les explosions, l’existence de deux hôpitaux et de plusieurs maisons de repos sur le territoire de la commune, le danger potentiel pour l’intégrité physique et le nombre d’accidents constatés chaque année.