Des témoins entendus au procès de Maroie Léale (Crisnée)

Le 12 juillet 1590, 12 nouveaux témoins sont entendus par la Cour de Justice de Crisnée, dans le cadre du procès pour sorcellerie de LEALE Maroie.

Maroie Léale à nouveau torturée (Crisnée – Liège)

Le 25 juillet 1590, la Justice Souveraine de Liège ordonne à nouveau la mise à la torture, « par le chaud et le froid », de LEALE Maroie, poursuivie pour sorcellerie par la Cour de Justice de Crisnée.

Maroie Léale, bannie (Crisnée)

Le 23 juillet 1590, LEALE Maroie, poursuivie pour sorcellerie devant la Cour de Justice de Crisnée, mais qui a toujours nié les faits qui lui étaient reprochés, même sous la torture, est condamnée à être marquée au fer rouge et à être bannie à perpétuité, sous peine d’être étranglée et brûlée jusqu’à ce que mort s’en suive si elle revient au Pays de Liège et au Comté de Looz. (Elle échappe donc au bûcher !).

Maroie Léale marquée au fer rouge (Liège – Crisnée)

Le 13 août 1590, la sentence de marquage au fer rouge, contre LEALE Maroie, poursuivie pour sorcellerie devant la Cour de Justice de Crisnée, mais qui a toujours nié les faits qui lui étaient reprochés, est exécutée publiquement à Liège. La condamnation au bannissement sera applicable à partir du 20 août.

Maroie Léale, exécutée (Crisnée)

Le 21 juillet 1591 (1592 ?), LEALE Maroie est étranglée et brûlée à une potence. (Sans doute n’a-t-elle pas respecté le condamnation de bannissement prononcée par la Cour de Justice de Crisnée en juillet 1590).

Tilleul abattu (Kemexhe)

Le (?) 1856, une tempête abat le tilleul, qu’a fait planté le curé de Kemexhe, l’abbé BOTTIN Henri, au carrefour du lieu-dit « Batch des Macrales », il y a un siècle et demi.

Création d’une commission P.L.u.I.E.S. (Oreye)

Le 28 avril 2025, la commune d’Oreye met en place une commission « P.L.u.I.E.S. » (Prévention et Lutte contre les Inondations et leurs Effets sur les Sinistrés), à l’initiative de l’échevine BAIRIN Ophélie, par ailleurs ingénieur à l’A.I.D.E.

Roland Vanseveren ne se représentera pas (Berloz)

En septembre 2024, VANSEVEREN Roland, conseiller communal de l’Opposition (ECOLO) à Berloz, annonce qu’il ne se représentera pas aux prochaines élections communales, en raison des insultes, des menaces, voir des coups, qu’il aurait reçus durant la dernière législature.

On ne peut dire du mal du Prince-Evêque (Liège)

Le 26 février 1685, un édit du Prince-Evêque de Liège, DE BAVIERE Maximilien-Henri, défend à tous les bourgeois et autres, de mal parler de son Altesse, de ses ministres, officiers et magistrats, en se servant de propos injurieux, séditieux ou plein de mépris. Les cabaretiers et autres qui auront entendu de tels discours sans en faire rapport au grand Mayeur ou à ses lieutenants, seront considérés comme complice et châtiés de la même peine que les auteurs desdits propos.

Conflit entre Henri le Guerroyeur et Louis de Looz (Saint-Trond – Waremme – Liège)

En 1203, une dissension violente éclate entre de Duc DE LOUVAIN Henri, dit « Le Guerroyeur », et le Comte DE LOOZ Louis, au sujet de l’avouerie de Saint-Trond.

Le Duc commence à ravager les moissons. Le Comte fait appel à l’assistance du Prince-Evêque de Liège, son suzerain. Ce dernier lève des milices et constitue une grande armée commandée par DE SAINT-JACQUES Renier. Il mande au Comte de venir le rejoindre à Waremme avec ses troupes. Les 2 armées se rencontrent au jour fixé et campent à Waremme 8 jours entiers.

L’intervention du Comte de Namur parviendra à réconcilier les belligérants.