Le 5 octobre 2012, en fin de soirée, un incendie se déclare à l’usine « Deufol », située dans le zoning industriel de Waremme. Les ouvriers doivent être évacués. Les pompiers éteignent le sinistre, qui ne fait pas de victime.
Archives de catégorie : Catastrophes, crimes, délits et accidents
Vol de voitures à Waremme
Dans la nuit du 26 au 27 septembre 2012, plusieurs voitures sont volées à Waremme et dans les environs.
Vols de voitures à Waremme
Les 22 et 23 septembre 2012, quatre voitures de luxe (trois Mercedes et une Audi Q7) sont volées chez des habitants de Waremme. Les voleurs forcent une porte ou une fenêtre, de nuit, pénètrent dans la maison et cherchent les clés de la voiture, en emportant au passage GSM, portefeuille ou autre objet de valeur. Il s’agit probablement d’une bande organisée.
Paul Deschanel tombe du train (France)
Carte du Tsunami en Indonésie
Sandra Koch, policière à Waremme, tente de mettre fin à ses jours après avoir égorgé ses deux enfants
Pression insupportable, harcèlement professionnel, dépression… Plusieurs raisons, non officielles, pourraient expliquer le geste horrible de la policière KOCH Sandra. Elle a voulu mettre fin à ses jours après avoir égorgé ses deux jeunes enfants. L’autopsie de la petite fille doit avoir lieu ce week-end. Les jours de la maman et de son fils sont toujours en danger.
Pression insupportable, harcèlement professionnel, dépression… Plusieurs raisons, non officielles, pourraient expliquer le geste horrible de la policière KOCH Sandra. Elle a voulu mettre fin à ses jours après avoir égorgé ses deux jeunes enfants. L’autopsie de la petite fille doit avoir lieu ce week-end. Les jours de la maman et de son fils sont toujours en danger.
Déprimée et blessée
Depuis, la jeune femme aurait été soumise à des pressions, des services inconfortables, des missions peu valorisantes ou désagréables… Un véritable harcèlement selon notre source. » Elle avait participé à un exercice de tir la semaine dernière. Elle semblait un peu déprimée, mais rien qui puisse annoncer ce drame « , ajoute notre source.
Et puis, il y a aussi cet accident de travail, survenu au printemps dernier. « Elle est restée en congé de maladie trop longtemps au goût du chef, indiquent des voisins du couple. Depuis, ses supérieurs la pressaient pour qu’elle revienne vite travailler. Mais elle avait des ligaments déchirés. »
Bien sûr, toutes les personnes harcelées n’en arrivent pas à de pareilles extrémités, mais il s’agit peut-être d’un élément déclencheur. « Lorsqu’une personne pose un acte aussi irrationnel, il y a souvent plusieurs facteurs « , déclare un membre du collège de police.
Quoi qu’il en soit, vendredi après-midi, alors que son mari, pompier professionnel à l’aéroport de Zaventem, était au travail, la policière a emmené ses deux jeunes enfants dans les bois de Stoumont, sa région natale. Elle a appelé le 100 pour signaler sa folle intention. » Elle n’avait pas son arme de service sur elle « , nous précise la procureur du Roi de Verviers, WILWERTH Christine.
À leur arrivée, les secours ont trouvé les deux enfants égorgés. Leur maman avait tenté de les immoler par le feu avant d’essayer de se suicider.
Emilie, la petite fille d’un an avait déjà succombé à ses blessures. L’autopsie, prévue ce week-end, devrait révéler les causes exactes du décès. Quant à Bastien, le petit garçon de 4 ans, et à la maman, leurs jours sont toujours en danger. » Selon les médecins, il faudra plusieurs jours avant de savoir si le garçon survivra » nous dit encore WILWERTH Christine.
Le papa sous le choc
DUTRANNOIS Vincent, le papa, est dans un état de détresse que l’on peut aisément comprendre. « Il est dans un tel état de douleur, indique un parent qui souhaite conserver l’anonymat. On imagine toujours que ça peut arriver à un autre, quand ça se produit dans notre famille… D’un côté, Vincent est perdu, sous le choc et de l’autre, il doit garder la tête haute pour Bastien, toujours dans une situation critique. «
Perquisition au siège du « Hôme Waremmien » et au domicile de son directeur-gérant, Denis Mottard (Waremme)
Le 2 décembre 2005, le Parquet de Liège procède à une perquisition au siège de la société de logements sociaux « Le Hôme Waremmien » et au domicile de son directeur-gérant, MOTTARD Denis. L’information judiciaire a permis de mettre à jour des « suspiscions d’anomalies » diverses, prises en charge par le Hôme Waremmien :
- Dépenses au profit du club de football « Royal Stade Waremmien »
- Frais de déplacements apparemment liés à des matches de football
- Existence de notes de restaurant relatives à des repas de dix à douze personnes ou pour des repas pris le samedi et le dimanche
- Achat de biens sans relations avec l’objet social de la société
- Ouverture de comptes bancaires suspects
- …
Incendie de l’ancien Hôtel de Hesbaye à Waremme
Dans la nuit du 25 au 26 juin 2003, l’ancien Hôtel de Hesbaye, situé place Ernest Rongvaux à Waremme, est la proie des flammes. L’incident met en évidence les difficultés rencontrées par les pompiers de Waremme, pour combattre le feu sans grande échelle. Les 25 occupants de l’immeuble (les chambres ont été transformées en 28 « kots » garnis, par une société de Beringen) sont évacués grâce à l’intervention de DIGNEFFE Olivier. CHARLIER Michel est l’un des pompiers.
Le café qui se trouve au rez-de-chaussée est complètement détruit. Le patron est BOURGUIGNON Fabian.
Le bourgmestre de Waremme, CHABOT Jacques, étant en voyage humanitaire à Skopje, c’est le premier échevin, MEUREAU Robert, qui doit gérer la catastrophe et reloger les sinistrés, notamment à l’IPES.
La Belgique condamnée pour l’arrêt « INUSOP »
Le 22 juin 2000, la Cour Européenne des Droits de l’Homme de Strasbourg estime que l’arrêt rendu dans l’affaire « INUSOP » est inéquitable et condamne l’Etat Belge à verser une indemnité aux plaignants.
En avril 1996, la Cour de Cassation avait condamné COEME Guy à deux ans de prison, JAVEAU Camille à un an, VOSS-WINKEL Nicole à un an, HERMANUS Merry à un an, MAZY Jean-Louis à neuf mois, HOLLANDER Emmanuel à huit mois, STALPORT Jean-Louis à six mois et WILLERMAIN Robert à six mois. Toutes ces peines étaient assorties d’un sursis et d’une amende.
La Cour Européenne estime l’arrêt inéquitable parce que la Cour de Cassation, qui jugeait pour la première fois un ministre, a dû improviser une procédure pour ce faire, le Législateur n’ayant pas prévu celle-ci.
Guy Coëme est condamné dans l’affaire « INUSOP » (Waremme – Belgique)
Le 5 avril 1996, COEME Guy est condamné à deux ans de prison avec sursis, par la Cour de Cassation, dans le cadre du procès « INUSOP ». Il est, en outre, privé de ses droits civils et politiques pour 5 ans. Il perd également ses mandats de député et de bourgmestre. Il est condamné pour faux, usage de faux, escroquerie, abus de confiance et corruption.
D’autres personnes sont également condamnées :
- JAVEAU Camille à un an de prison
- VOSS-WINKEL Nicole à un an de prison
- HERMANUS Merry à un an de prison
- MAZY Jean-Louis à neuf mois de prison
- HOLLANDER Emmanuel à huit mois de prison
- STALPORT Jean-Louis à six mois de prison
- WILLERMAIN Robert à six mois de prison.
Toutes ces peines sont assorties d’un sursis et d’une amende.
Ce procès est particulier, car c’est la première fois dans l’histoire de la Belgique que la Cour de Cassation est appelée à juger un ministre. La Cour a donc du improviser une procédure pour le faire.
L’affaire « INUSOP » est liée au financement occulte du Parti Socialiste.



