Un poste fixe de 30 soldats sera installé (Waremme)

Le 16 juin 1797, une des troupes de brigands qui sèment la terreur dans la région, pénètre dans Waremme, force la maison d’arrêt et délivre un détenu accusé de garrottage et d’assassinat.

Suite à cet acte audacieux, un poste fixe de 30 soldats sera installé à Waremme, pour prévenir de semblables attentats.

Bagarre à la Confrérie des Archers (Waremme)

Le 22 mai 1796, COLON Gilles, « Roy » de la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme, est agressé par le confrère THIRION Guillaume. Celui-ci est condamné à une amende d’une livre de chandelles, par la Confrérie.

Le hameau de Longchamps est pillé

Le 8 juillet 1794, un détachement de troupes alliées, qui campe à Saives, vient piller le village de Longchamps.

Mort de Jean-Paul Marat (France)

MARAT Jean-Paul

Le 13 juillet 1793, CORDAY Charlotte poignarde le révolutionnaire MARAT Jean-Paul dans sa baignoire.

CORDAY Charlotte

Ce samedi, CORDAY Charlotte, jeune aristocrate de la région de Caen, se rend à la maison de MARAT Jean-Paul pour l’assassiner, voyant en lui l’incarnation du mal. Elle entre dans l’immeuble de la rue des Cordeliers, mais au premier étage, elle est arrêtée par EVRARD Simonne, la maîtresse de MARAT, avec laquelle une vive discussion s’engage. Quand MARAT entend que la visiteuse semble avoir amené une liste d’adversaires de la Révolution, il ordonne de la laisser passer.

Selon son habitude, il travaille dans sa baignoire, car cela le soulage d’une maladie de peau. Une grande planche pour écrire repose sur la largeur de la baignoire.

Elle commence à lire les noms de prétendus réactionnaires et MARAT les griffonne nerveusement. CORDAY Charlotte y voit sa chance. Elle sort un poignard, de sous le grand châle qu’elle porte malgré la chaleur de juillet, et le plante dans la poitrine de MARAT, le tuant sur le coup.

Elle sera arrêtée et guillotinée quelques jours plus tard.

Les Autrichiens s’emparent de Waremme

Le 22 mars 1793, un détachement de 150 Autrichiens environ arrive à Waremme et s’empare des magasins militaires établis par les troupes Françaises au Couvent des Récollets. Ils pillent ensuite la maison de LAGASSE Walthère-Joseph, qui avait fourni du fourrage aux Républicains.

Des émeutes éclatent à Waremme

Le 5 mai 1790, le prix des vivres provoque une émeute à Waremme.

Le bâton des Waremmiens

Avant 1790, l’arme du Hesbignon waremmien est un énorme bâton. Il ne se passe aucune fête de village sans quelques bras, jambes ou têtes cassés.

Famine à Waremme

En 1788, les récoltes de grains sont très mauvaises dans toute la région. Le prix élevé des grains réduit une grande partie de la population de Waremme à l’indigence.

Mise à l’amende à la Confrérie des Archers (Waremme)

Le 7 mai 1769, la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme condamne le jeune HENNIN Jean à une amende d’une livre de chandelles, pour avoir dit à REKOM Henri qu’l était un « homme de rien » ; SALLE Gilles et COLLARD Antoine à une chandelle d’un sou chacun, pour avoir fait marcher l’enseigne et le tambour, en l’absence du Roy et de l’Empereur.

Prévention des incendies (Waremme – Liège)

charles-nicolas d'outrelmont prince-évêque de liège

charles-nicolas d’outrelmont prince-évêque de liège

Le 26 novembre 1767, l’Evêque de Liège, D’OUTREMONT Charles-Nicolas, signe un mandement par lequel il renouvelle les ordonnances publiées antérieurement pour prévenir les incendies dans la ville de Waremme.