Le 19 août 1677, des Allemands, en garnison à Reickheim près de Maastricht, volent tous les chevaux qui se trouvent dans les fermes des veuves DE WANGRE Henri et HELLINS Michel.
De peur, les habitants s’enfuient à nouveau.
Le 19 août 1677, des Allemands, en garnison à Reickheim près de Maastricht, volent tous les chevaux qui se trouvent dans les fermes des veuves DE WANGRE Henri et HELLINS Michel.
De peur, les habitants s’enfuient à nouveau.
En juillet 1677, des soldats Français pénètrent dans la ville, s’emparent du bourgmestre LEONARD Henri, pillent sa maison et l’emmènent à Louvain, prisonnier durant huit jours.
Le 3 septembre 1676, sans laisser le moindre répit aux habitants, ce sont les Français qui arrivent à Waremme après leur succès de Maastricht. Le Maréchal DE SCHOMBERG reste à Waremme pendant 5 ou 6 jours. Ses hommes vont piller jusqu’à la dernière gerbe. Des habitants effrayés, partent se réfugier dans les faubourgs de Liège et de Huy.
En 1675, les villages de l’entité de Waremme sont frappés d’une contribution de 3.336 florins, par le commandant français de la garnison de Huy. Des otages, pris dans chaque communauté, sont retenus 36 jours (à leurs frais !), jusqu’au paiement de la somme.
En 1669, une épidémie de peste fait son retour à Waremme. Le foyer de l’infection semble être le couvent des Sépulchrines. Le conseil de la ville interdit à quiconque de sortir du couvent, de jour comme de nuit, et autorise tout un chacun à faire feu sur ceux qui enfreindraient l’arrêté.
Le 2 septembre 1666, un gigantesque incendie se déclare à Londres. En 3 jours, 132.000 maisons et 87 églises seront détruites.
En 1665, le jour du Saint-Sacrement, CORNET François, FRAIPONT Hubert, BOUX Henri et DEJENEFFE Guillaume sont condamnés par la Confrèrie des Archers de Saint-Sébastien de Waremme, à payer chacun quatre florins pour s’être battus. Le même jour, la Confrérie décide que les Pères du Couvent des Récollets seront toujours préférés à tout autre, pour la location du pré à tirer.
En 1653, le Duc DE LORRAINE Charles vient à nouveau prendre ses quartiers d’hiver à Waremme, en semant la dévastation dans toute la région. De panique, une grande partie de la population et les bourgmestres abandonnent la ville.
Le Prince-Evêque de Liège, DE BAVIERE Maximilien-Henri, lui envoie un émissaire afin de le prier de se retirer et de cesser tant de violences et d’extorsions, dans un pays qui ne lui a donné aucun sujet de guerre. Devant la fin de non recevoir du Duc DE LORRAINE, DE BAVIERE Maximilien-Henri passera à la contre-offensive, aidé par l’Empereur FERDINAND III, et finira par débusquer les Lorrains de Hesbaye.
Le 19 février 1651, les Lorrains se rendent à nouveau maîtres de la ville. Ils vont s’enfuir à l’annonce de l’arrivée de l’armée liégeoise, non sans avoir extorqué une forte somme aux habitants.
En 1650, alors que DE BAVIERE Maximilien-Henri accède au trône épiscopal de Liège, Waremme est prise pour cible par le Duc de Condé et le Duc de Lorraine qui, suite à une trahison envers le Prince-Evêque, s’emparent de Waremme, la pillent et emmènent le bourgmestre comme prisonnier.