Incendie à la Frit’ Rie (Waremme)

Le 29 mars 2015, un feu se déclare dans un bac à graisse de « La Frit’ Rie », installée rue Gustave Renier, à Waremme. Les pompiers maîtrisent l’incendie, mais les dégâts sont importants.

Mort de Guillaume de Hemrickette (Waleffes-Saint-Georges)

Le 31 juillet 1598, DE HEMRICKETTE Guillaume décède à Waleffe-Saint-Georges (?). Il est abattu d’un coup d’arquebuse dans le dos. Sa veuve est DE NOLLENS Marie. Une dalle commémorative sera placée dans l’église de Les Waleffes.

Michel Jadoul, condamné (Berloz)

En décembre 2003, le bourgmestre de Berloz, JADOUL Michel, âgé de 66 ans, agriculteur, est condamné par le Tribunal Correctionnel de Liège, pour avoir employé de la main d’oeuvre « au noir », des travailleurs indiens, non déclarés.

Mort de Raymond Lepouse (Hesbaye – Liège)

Le 21 juillet 1944, LEPOUSE Raymond, dit « Sam », volontaire au Commando de Résistants « Section Punitive Belge » (SPB), appelé familièrement « Groupe Zoro », dirigé par DERWA Arthur, dit « Arthur », arrêté par les Allemands, se jette par une fenêtre du 2ème étage de la Kommandantur à Liège, pour ne pas divulguer de secrets à l’ennemi. Il s’écrase sur le pavé et périt. Il était originaire de Liège.

Mort de Joseph Depas (Momalle)

Le 22 juin 1953, DEPAS Joseph de Momalle décède accidentellement à (?), à l’âge de 60 ans. Sa veuve est GELAESEN Valentine.

Des Résistants abattus (Momalle – Allemagne)

Dans la nuit du 6 au 7 septembre 1944, quelques maquisards du groupe « Zoro » s’introduisent dans le fenil de la ferme « DENGIS », rue du Chêne à Momalle, pour s’y reposer. Ils sont repérés par les Allemands qui encerclent le bâtiment et l’incendient. Les Résistants tentent d’échapper aux flammes, mais ils sont abattus dès leur sortie.

Les victimes sont, notamment:

  • DELHALLE Jean-Louis, dit « Parfait »
  • DESSART Maurice, dit « Timide »
  • KNAEPEN Alphonse, natif de Geet-Betz

Embuscade au « Cheval Blanc » et exécutions (Freloux – Streel – Allemagne)

Le 5 septembre 1944, le Résistant du groupe « Zoro, LINCHET Henri, dit « Alexandre », poste une dizaine de ses hommes en embuscade, au lieu-dit « Le Cheval Blanc », à Freloux, notamment:

  • BOEKER Antoine, dit « Constant »
  • MASSART Albert, dit « Max »
  • PEILLIEN Jean-Baptiste, dit « Ramuntcho »
  • LITTLE Henry, dit « Jim »
  • RORIVE Jean, dit « Grincheux »
  • DETHIER Edmond
  • FRANKINET Laurent
  • YOUNGBLOOD Jérôme

Ils attaquent un convoi allemand de trois véhicules, venant de Noville. Après un bref combat, les Résistants font huit prisonniers, qui sont emmenés à la ferme de Streel.

Une seconde colonne de véhicules allemands arrive sur les lieux. Ces militaires constatent les traces de l’agression et trouvent des cadavres de leurs compatriotes dans un champ voisin. Ils envahissent le moulin de Momalle, tout proche, le fouille à la recherche des « terroristes », prennent les habitants en otage et incendient les bâtiments.

Un peu plus tard, un camion allemand est encore mitraillé dans la campagne entre Fooz et Freloux. Le chauffeur, blessé, est emmené dans la cour de la ferme de Streel.

Des instructions sont demandées à DERWA Arthur, dit « Zoro », sur le sort à réserver aux Allemands détenus dans la ferme. Il répond qu’il ne faut pas s’embarrasser de prisonniers en ce moment. Ils sont exécutés d’une balle dans la tête et enterrés dans le jardin du fermier.

Hold-up chez Mélotte (Remicourt)

Le 19 août 1943, cinq Résistants armés du groupe « Zoro » font irruption dans l’usine « MELOTTE », à Remicourt. Ils entrent dans le bureau du chef comptable et se font remettre la paie du personnel, soit 190.000 francs. L’opération ne dure qu’une dizaine de minutes.

Georges Doyen veut lutter contre la fraude (Waremme)

Le 24 juin 1940, afin de lutter contre la fraude, le commissaire d’arrondissement de Waremme, DOYEN Georges, prend un arrêté qui impose une autorisation motivée pour tout transport de céréales, sous peine de sanctions sévères, dont la confiscation des marchandises.

Les gendarmes enquêtent (Waremme)

A l’été 1940, les gendarmes de Waremme enquêtent sur le vandalisme et les vols qui ont été commis dans les habitations de ceux qui ont fui la ville devant l’arrivée des Allemands, en mai 1940. Il apparaît que ceux-ci ne sont pas les seuls responsables !