Momalle ravagée

En 1325, le château et l’église de Momalle sont incendiés par les corporations liégeoises, en rébellion contre le Prince-Evêque. Les Liégeois s’emparent de la bannière du Prélat et font bombance dans le village pendant 4 jours.

Bibliothèque en feu (Louvain)

En 1914, la bibliothèque de l’Université Catholique de Louvain est la proie des flammes.

Les sucreries sentent mauvais (Waremme)

En novembre 1874, Madame MOUREAUX, veuve LAMBERT, se plaint au Conseil Communal de Waremme, de l’écoulement considérable des eaux provenant de la Sucrerie Centrale de Waremme et de leur odeur fétide. Ces eaux se déversent dans le canal, en face de sa maison.

Embouteillages à Waremme

Le 1er octobre 1867, pour remédier aux embouteillages dans la commune, causés par l’afflux de tombereaux de betteraves vers les deux sucreries, le Conseil Communal de Waremme prend les mesures suivantes:

  • Les chars venant de Waremme doivent monter la rue de la Station du côté gauche et descendre par la rue Sous-le-Château.
  • Le stationnement est interdit rue de la Station, à hauteur des raccordements ferrés vers les deux fabriques.
  • Aucune voiture ne peut emprunter la rue Sous-le-Château, à partir de la maison « DERUISSEAU ».
  • Les chars venant de Longchamps doivent contourner la gare par l’empierrement qui aboutit près de la maison « BERTRAND ». Les autres transports doivent continuer par la rue Sous-le-Château, sans s’arrêter.

En cas d’infraction à ces mesures, une amende de 5 à 10 francs sera appliquée.

Henri Lhoest, condamné (Waremme – Liège)

En juillet 1751, le marchand de Waremme, LHOEST Henri, est condamné à une peine d’amende par la Cour de Justice du Prince-Evêque de Liège, pour avoir omis de payer les droits sur des lots de laine et de tissu. Les marchandises ont également été confisquées.

Il ne peut payer directement cette amende et déclare que cela le mettrait hors d’état de pouvoir faire subsister sa pauvre et désolée famille. Il demande la remise de 2/3 de cette amende et l’autorisation de la payer en 2 mois.

Gille Gaillar, condamné (Poucet – Liège)

En mai 1727, le marchand de cochons de Poucet, GAILLAR Gille, est condamné pour avoir fait passer, continuellement, quantité de bêtes, en fraude des droits du Prince-Evêque de Liège. 35 cochons lui sont confisqués en paiement de l’amende.