Testament de Baudouin 1er de Jeneffe (Waremme)

En 1248, quelque temps après le décès du premier châtelain de Waremme, DE JENEFFE Baudouin, ses exécuteurs testamentaires vendent 45 bonniers de terre situés sur le territoire de Jeneffe (entre Limont, Rolloux, Haneffe et Momalle), aux abbayes d’Aulne et de Soleilmont (Lobbes ?), dans le respect des volontés du défunt de payer ses dettes et de réparer ses torts.

Cette transaction se fait avec l’accord de sa veuve, DE MONTFERRANT Ermentrude, de son fils DE JENEFFE Guillaume et de ses frères, DE LIMONT Robin et D’OREYE DE JENEFFE Arnould.

Beaudouin 1er de Jeneffe, malade (Waremme)

En 1248, le châtelain de Waremme, DE JENEFFE Baudouin tombe malade. Il prend des mesures, avec le consentement de sa femme et de ses enfants, pour qu’on puisse payer ses dettes et réparer ses torts, après sa mort.

C’est ainsi, qu’au mois d’avril 1248, il assigne 150 bonniers de sa terre de Jeneffe pour servir à dédommager ceux envers qui il a commis des injustices . En attendant la vente de ces terres, leur produit doit être employé aux dites restitutions.

Baudouin 1er de Jeneffe retrouve et arrête un meurtrier

Le 7 novembre 1225, le Comte D’ALTENA D’ISENBERG Frédéric, seigneur de Nienbrugge, avec une bande de ses gens, massacre lâchement, dans un guet-apens, au milieu d’un voyage, son cousin DE BERGHES Englebert, archevêque de Cologne.

Pour ce crime, le meurtrier est cité devant la Cour de HENRI, roi des Romains, fils de l’Empereur FREDERIC, où il est condamné (par contumace) par le jugement des princes de l’Empire. Les châteaux et maisons du condamné sont rasés de fond en comble et ses biens confisqués. Lui-même, errant et fugitif, est banni de la compagnie des fidèles. Le hasard de sa fuite l’amène à Huy où, sous des habits de marchands, il espère échapper aux recherches de ses juges.

Mais, en 1226 (?), DE JENEFFE Baudouin a vent de sa retraite et s’empare de lui et de 2 de ses complices. Il le conduit, enchaîné, à Visé où il le remet au souverain avoué de Cologne et aux autres barons, qui le gratifient de 2.100 marcs. Ceux-ci ramènent D’ALTENA D’ISENBERG Frédéric à Cologne, lié sur un cheval, à travers les bourgs et les villages. Après avoir avoué son forfait, il supporte avec courage les supplices qu’il a mérité: on lui brise bras et jambes; il est ensuite exposé sur une haute potence; enfin, il est roué (la roue d’airain est dressée sur une colonne, hors de la porte Saint-Sevrin).

Incendie à Waremme

Le 29 août 1893, un incendie éclate rue du choléra à Waremme (?). Les maisons de CROTTEUX Gérard, de MIGNOLET Mathieu et de « la muette » PAGNA sont détruite.

François Mathy, sinistré (Grand-Axhe)

En 1852 (?), la maison de l’agriculteur MATHY Jean-François est détruite par le feu à Grand-Axhe.

Incendie à Waremme

Le 10 octobre 1853, à 7 heures du matin, le grange de MATHY Jean-François s’enflamme à Waremme. Rapidement sur les lieux, la pompe du Baron DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond permet de sauver sa maison en chaume, toute proche. La pompe de la commune arrive peu après. Une chaine se met en place. A l’aide des deux pompes, le feu est maîtrisé vers midi

On peut retirer de la grange, à peu près la moitié de la récolte qui y était stockée, mais elle est très enfumée, roussie et humide.

Le crucifix « Tempier » (Grand-Axhe)

En 1905, la croix commémorative de l’assassinat de l’abbé TEMPIER Wathy, au croisement de la chaussée romaine et du sentier de Grand-Axhe, est remplacée par un crucifix fixé sur un chêne.

La croix « Tempier » (Grand-Axhe)

En 1895, la croix commémorative de l’assassinat de l’abbé TEMPIER Wathy, au croisement de la chaussée romaine et du sentier de Grand-Axhe, est placée sur un poteau.

Commémoration de l’assassinat de l’abbé Tempier (Grand-Axhe)

En 1604, une croix commémorative de l’assassinat de l’abbé TEMPIER Wathy est fixée sur une borne militaire, au croisement de la chaussée romaine et du sentier de Grand-Axhe.