Vol à Radio Hesbaye (Waremme – Borlez)

Le 29 mars 1982, du matériel pour une valeur de près de 100.000 francs est dérobé dans les locaux de Radio Hesbaye, rue Albert 1er à Borlez.

Les cambrioleurs laissent sur place un message stipulant que si les animateurs de la radio veulent rentrer en possession de leur bien, ils doivent verser une rançon de 200.000 francs et faire des excuses au peuple zaïrois, faisant allusion à une cassette, traitant avec humour l’accent zaïrois, qui a été diffusée à plusieurs reprises sur antenne.

Inondations à Waremme

Le 27 juin 1970, un orage diluvien provoque l’inondation de nombreuses caves dans plusieurs quartiers de Waremme.

« Petit meurtre en famille » (Waremme – France)

Le 24 janvier 2012, l’émission de France 2, Histoires en série, présentée par SCHÖNBERG Béatrice, diffuse un reportage de 35 minutes intitulé « Petit meurtre en famille », sur l’assassinat de VANHAEREN Henri à Waremme en 2003.

Georgette Jonckers accuse son fils et sa belle-fille (Waremme)

Fin février 2008, lors de son audition, JONCKERS Georgette accuse son fils, GILLOT Pascal, et sa belle-fille, VAN KESSEL Nathalie, d’avoir tué VANHAEREN Henri.

Elle déclare même que c’est son fils qui aurait placé l’oreiller sur la tête de son père.

Accusations contre Georgette Jonckers (Waremme)

Le 13 février 2008, VAN KESSEL Nathalie, l’épouse du fils de JONCKERS Georgette, dénonce sa belle-mère.

Elle l’accuse d’avoir empoisonné VANHAEREN Henri à Waremme, en 2003.

L’héritage d’Henri Vanhaeren (Waremme – Bora-Bora)

Fin de l’année 2003, la compagne de VANHAEREN Henri, JONCKERS Georgette , hérite d’environ 500.000 euros, suite au décès de son compagnon, à Waremme.

Elle en donnera les trois quarts à son fils, GILLOT Pascal, et à sa belle-fille, VAN KESSEL Nathalie. En quelques mois, ces derniers dépensent 370 000 €. Mariage au château, achat d’une Audi full options, voyage de noces à Bora-Bora… Ils ne se refusent rien

Daniel François et Alain Michelet condamnés pour harcèlement et traitement dégradant (Waremme – Liège)

Le 16 mai 2014, le tribunal correctionnel de Liège condamne le commissaire FRANCOIS Daniel à une peine de 12 mois de prison, avec un sursis de 3 ans et le commissaire MICHELET Alain, à une peine de 10 mois de prison, avec un sursis de 3 ans pour harcèlement et traitement dégradant à l’égard de KOCH Sandra.

Les deux hommes sont acquittés de la prévention de faux en écritures, qui portait sur le classement abusif de procès-verbaux (PV) et la réattribution de numéros de PV existants. Le Tribunal estime qu’il n’y a pas eu n’analyse sérieuse du système informatique de la police de Waremme. Analyse qui, seule, aurait permis de confirmer cette prévention. Le Tribunal déclare donc la prévention non établie.

Les deux hommes sont également acquittés des préventions de coups et blessures involontaires et d’homicide involontaire sur la personne de KOCH Sandra. Le Tribunal estime que si le harcèlement et les traitements dégradants sont bien établis, il subsiste un doute quant au lien entre ceux-ci et les évènements tragiques qui se sont déroulés en 2011 et 2012. Ce doute est lié à la fragilité psychologique de KOCH Sandra.

Pour mémoire, cette dernière, agent de quartier au sein de la zone de police de Hesbaye, a tué sa fille et tenté de tuer son fils, le 11 novembre 2011, avant de mettre fin à ses jours, un an plus tard, à la prison de Lantin. Lors de ses interrogatoires, elle a affirmé avoir été  harcelée par ses supérieurs.

Il faut des feux à la Patte d’Oie (Waremme)

Le 25 juillet 1988, le Conseil Communal de Waremme vote une motion exigeant l’implantation de signaux lumineux tricolores au carrefour de la « Patte d’Oie » où se produisent de trop nombreux accidents graves.

Incendie chez Faillipaille (Waremme)

Le 23 juillet 1988, le hangar de la société Faillipaille, situé rue du Parc Industriel à Waremme, est la proie des flammes. Les dégâts sont très importants.

Faillipaille partageait ces installations avec la Sogecome et les sociétés « Allwood » et « Woodlook ».