La Gare de Waremme sera inaccessible la nuit

Le 12 avril 2000, la SNCB annonce que, désormais, le hall de la Gare de Waremme sera inaccessible entre 21h45 et 4h. Une vingtaine de jeunes avaient pris l’habitude de s’y réunir certaines soirées et le week-end, se laissant aller à des dégradations dans la salle d’attente. Ces dégradations ont incité la direction régionale de Liège à prendre cette décision de fermeture nocturne.

La buvette du Royal Stade Waremmien est mise à sac

Le 8 juillet 1999, deux gamins de 11 ans pénètrent dans la buvette du club de football du « Royal Stade Waremmien » et la mettent à sac.

Le Monument aux morts vandalisé (Waremme)

Le 11 novembre 1975, des « vandales » dégradent le Monument aux Morts des deux guerres, à Waremme.

Le Collège Saint-Louis fermé (Waremme – Allemagne)

En octobre 1918, les cours ne reprennent pas au Collège Saint-Louis de Waremme car les Allemands occupent l’établissement. Ils forcent les portes du laboratoire et détruisent ou volent la presque totalité du matériel.

Des soldats sèment le désordre (Waremme – Oleye)

En mars 1814, des soldats cantonnés à Oleye viennent semer le désordre à Waremme, briser des vitres et menacer les habitants.

Une des cloches est brisée (Waremme)

En 1799, une des cloches de l’église de Waremme est brisée par les Sans-Culottes.

Le hameau de Longchamps est pillé

Le 8 juillet 1794, un détachement de troupes alliées, qui campe à Saives, vient piller le village de Longchamps.

Les Autrichiens s’emparent de Waremme

Le 22 mars 1793, un détachement de 150 Autrichiens environ arrive à Waremme et s’empare des magasins militaires établis par les troupes Françaises au Couvent des Récollets. Ils pillent ensuite la maison de LAGASSE Walthère-Joseph, qui avait fourni du fourrage aux Républicains.

Les troupes du général Saint-André pillent Waremme

Le 19 octobre 1746, le général SAINT-ANDRE laisse ses troupes dépouiller les granges et les greniers des environs.

Corswarem est pillée par les Français

Le 30 juillet 1693, après la bataille de Neerwinden, l’armée française prend la direction de Waremme, à cause du danger d’infections né de la décomposition des corps et du manque de vivres.

Les soldats demeurent à Corswarem jusqu’au 13 août, pillant fourrages et grains à plus de deux lieues à la ronde. Les maisons et même les églises sont pillées. La plupart des habitants fuient en emportant leurs biens les plus précieux.

Le camp des Français est installé au point culminant situé entre Corswarem et Berloz.