En janvier 2020, des actes de vandalisme sont constatés dans l’église de Lens-Saint-Servais:
- Vol de statues
- Tabernacle forcé
- Objets brisés
- Marches de l’autel cassées
- Sacristie saccagée
L’édifice est à l’abandon depuis plusieurs années.
En janvier 2020, des actes de vandalisme sont constatés dans l’église de Lens-Saint-Servais:
L’édifice est à l’abandon depuis plusieurs années.
En mars 2021, le conseil d’administration de l’ASBL qui gère la réserve naturelle du Haut-Geer décide d’interdire l’accès aux visiteurs suite aux nombreuses incivilités constatées, qui nuisent à la biodiversité.
En 1746, des troupes s’installent à Oleye, à plusieurs reprises, et se livrent à des exactions. Elles doivent être nourries par les habitants.
Le mayeur du village est LEJEUNE Gilles-Jean-François.
En août 1745, des uhlans de la Brigade Blanche du Maréchal DE SAXE passent à Oleye et s’y livrent à des dégradations et pillages.
Le mayeur du village est LEJEUNE Gilles-Jean-François.
En octobre 1213, les Brabançons de DE BRABANT Henri, dit « Le Guerroyeur » empruntent la chaussée de Nivelles. De Oleye à Montenaken, ils traversent les domaines de DE CORSWAREM Robert et incendient Fresin, où il possède des biens. Ils mettent également à sac le village de Corswarem.
En 1694, les troupes françaises campent à Hodeige. Des soldats logent dans l’église et y commettent toutes sortes d’excès: ils brisent les armoires de la sacristie, ainsi que la grande porte de l’église. Les fermiers du village, surtout les locataires, sont les plus à plaindre. Ils sont partiellement ou totalement ruinés par le séjour des troupes.
En 1648, la Paix de Wesphalie met fin à la Guerre de Trente Ans. Néanmoins, les hostilités continuent entre la France et l’Espagne. DE LORRAINE Charles, qui n’a plus que ses troupes et qui ne sait pas comment les nourrir, se jette alors sur la Principauté de Liège et y vit, principalement en Hesbaye, aux dépens des habitants. Il y exercera ses ravages jusqu’en 1654, notamment à Waremme et dans les villages voisins.
Le 18 juillet 1636, le Chapitre de Saint-Lambert de Liège fait part, aux Trois Etats réunis, des exactions commises par les troupes de DE WEERT Jean:
« Pendant l’espace de 4 mois et davantage, la gendarmerie de DE WEERT Jean et d’autres associés a exercé dans le pays tous actes d’hostilité, toutes sortes de cruautés, perfidies, sacrilèges, meurtres, oppressions, concussions, rapines, voleries, brandschats, violations très infâmes de femmes et filles, et commis une infinité d’autres actions très exécrables et tyranniques et plus que barbares. Elle a en outre bouté le feu et réduit en cendres des villes et plusieurs villages entiers avec beaucoup de milliers de maisons; pillé et brulé un grand nombre d’églises et de monastères, déchassé par le plat pays les pasteurs et gens d’église, fait cesser l’office divin et contraint, selon que l’on tient, plus de 10.000 personnes de se retirer de ce pays catholique aux provinces de la religion contraire, avec danger d’y perdre corps et âmes, et même, chose horrible, foulé au pieds, en plusieurs lieux, le très auguste et Saint Sacrement de l’autel. »
Le 18 février 1636, le Baron DE WEERT Jean entre dans la Principauté de Liège avec une armée de 4000 Croates. Ce général, désirant loger ses soldats dans les villes, adresse aux bourgmestres des lettres de convocation, pour se concerter avec eux dans une assemblée générale. Mais le Chapitre de Saint-Lambert et les députés des Etats défendent à ceux-ci de se rendre à cette assemblée et, surtout, de consentir à ce projet
Mais dans l’entretemps, des détachements croates occupent déjà plusieurs Bonnes Villes peu fortifiées, telles Waremme et Looz, et extorquent à d’autres villes (Tongres, Hasselt, Saint-Trond, …), par leurs menaces, de l’argent et des vivres. La plupart des villages de la Hesbaye et de la Campine sont épuisés.
En avril – mai 1636, la paroisse de Hodeige a beaucoup à souffrir des soldats croates de DE WEERT Jean, qui y campent et logent. Ils saccagent l’église et le village. Le curé, l’abbé DE DONCHEIL (DE DONCEEL) Thomas, doit se sauver par crainte d’être fait prisonnier pour la communauté et de subir toutes sortes de mauvais traitement, parce que les habitants sont dans l’impossibilité de payer au terrible capitaine l’entièreté des contributions militaires. DE WEERT Jean, furieux de voir lui échapper le curé, ne recule pas devant l’indignité de faire prisonnière une femme, la sœur utérine du curé, qui habite avec lui.