Les Sans-Culottes au Presbytère (Momalle)

En 1790, les Sans-Culottes ravagent le presbytère de Momalle. Un coup de feu est même tiré en direction du curé, qui doit se cacher chez un paroissien, pour échapper à la vindicte populaire.

Les Sans-Culottes chez le receveur (Momalle)

Le 17 septembre 1789, les « Sans-Culottes » pénètrent dans la maison du Receveur de Momalle, le Seigneur Comte MERCY D’ARGENTEAU, et brisent le mobilier.

Georges de Looz fouille le Tombe de Noville

En 1875, le Comte DE LOOZ Georges entreprend des fouilles sur le site du Tumulus de Noville. Celui-ci daterait de l’époque des premiers Antonins (fin du 1er siècle, début du 2ème siècle). Il constate qu’il a été pillé. Il relève la trace d’un pieu central.

Les Français étranglent Borlez

En 1693, l’armée française réquisitionnent les moissons à Borlez, ravage le village et force les habitants à fuir.

Registres détruits à Borlez

En 1651, les Lorrains, cantonnés dans l’église de Borlez, détruisent le registre des défunts et forcent le curé à s’en aller.

Les gendarmes enquêtent (Waremme)

A l’été 1940, les gendarmes de Waremme enquêtent sur le vandalisme et les vols qui ont été commis dans les habitations de ceux qui ont fui la ville devant l’arrivée des Allemands, en mai 1940. Il apparaît que ceux-ci ne sont pas les seuls responsables !

La maison d’Adolphe Renwart (Waremme)

Le (?) 1940, lorsqu’il rentre dans sa maison de la rue de la Porte de Liège à Waremme, après avoir fui avec sa famille devant l’arrivée des Allemands, l’agent commercial RENWART Adolphe, constate que la porte d’entrée a été fracturée, que le linge et tous les objets de valeur ont été emportés.

La maison de Roland Streignaerts (Waremme – Allemagne)

Le (?) 1940, lorsqu’il rentre dans sa maison de la rue de Mouhin, à Waremme, après s’être échappé d’une colonne de prisonniers près de Saint-Trond, STREIGNAERTS Roland constate que les portes de sa maison ont été fracturées et les fenêtres brisées. Les armoires sont grandes ouvertes, les tiroirs sortis des meubles. L’argenterie, les ustensiles de ménage, le linge, les outils, le contenu de sa cave à vins, … tout a disparu. Il estime son préjudice à plus de 20.000 francs.

Un voisin lui dira que les Allemands ont passé quelques nuits dans la maison et que des réfugiés s’y sont reposés.

La maison de Gilbert Botty (Waremme – Allemagne)

Le (?), au retour de son exil en France, BOTTY Gilbert constate que sa maison a été saccagée et que des biens ont été volés, pour un montant qu’il estime à plus de 3.000 francs. Il en veut au bourgmestre, à l’administration communale de Waremme et à son délégué, le courtier en grains de l’avenue des Tilleuls (qui deviendra plus tard l’avenue Guillaume Joachim), PAQUAY Emmanuel, d’avoir introduit illicitement les Allemands dans sa demeure.

Lantremange sera dédommagée

Le 20 octobre 1580, DE LANTREMANGE Godefrin produit une attestation de la Cour de Justice du village pour les dommages subis pendant la guerre.